DK’Plus de mobilité : La rénovation du centre-ville se poursuit boulevard Alexandre III ! Entamés à la mi-juin, les travaux de réaménagement de la place Jean-Bart se poursuivront jusqu’à la mi-décembre, alors que ceux de la rue Clémenceau et de la place Jeanne-d’Arc s’achèvent. La pose de grandes dalles autour de la statue de Jean Bart étant terminée, le chantier va se déplacer à la périphérie, tout en sachant que les travaux de piétonnisation de l’espace compris entre les rues Clémenceau et de la Marine ne débuteront qu’après le 23 octobre. Entre la place Jean-Bart et la rue Wilson (inter) Les engins de chantier investiront également jusqu’à la mi-décembre le boulevard Alexandre-III, dans sa partie comprise entre la place Jean-Bart et la rue du Président-Wilson. La circulation automobile sera cependant maintenue dans les deux sens pendant toute la durée du chantier et des places de stationnement seront disponibles sur la place Jeanne-d’Arc fraîchement rénovée. De même, un accès sécurisé aux commerces sera préservé pour les piétons sur une moitié de trottoir. Le terre-plein central du boulevard Alexandre-III sera supprimé au profit de trottoirs élargis, concentrant les voies de circulation, elles aussi remises à neuf, autour de l’axe de la chaussée. Les piétons retrouveront ainsi un vaste espace pour déambuler en toute sécurité devant les vitrines commerciales, sans pour autant modifier la capacité de circulation des voitures et des bus, ni altérer les possibilités de stationnement le long des trottoirs. Des auvents ponctueront le parcours piétonnier sur le boulevard et serviront d’abris pour se réfugier en cas de pluie, tandis qu’une série de plantations sera réalisée de la gare à l’hôtel de ville apportant plus de nature en ville. Fluidité et sécurité place de la Victoire (inter) Un autre axe important de circulation du centre-ville est en travaux en alternance jusqu’en juin 2018. Il inclut sur le secteur de la gare, les carrefours Guynemer-Europe (opérationnels en fin d’année), le quai des Hollandais, la place du Minck, la rue du Leughenaer, la place de la Victoire, le boulevard Paul-Verley et au-delà du canal exutoire, le boulevard de la République à Malo-Rosendaël. Concernant la place du Minck, par exemple, lorsque l’on vient du port, et en particulier du pont du Môle 2, la file pour tourner à gauche rue du Leughenaer a été agrandie, tout en préservant du stationnement. Cet aménagement permet de fluidifier le trafic des voitures et de limiter l’attente au feu tricolore. Autre exemple, place de la Victoire, où le futur aménagement offrira, d’ici la fin d’année, des espaces piétons supplémentaires avec des trottoirs et des traversées plus sécurisées et plus accessibles. Un « tourne à gauche » sera également instauré de la rue du Jeu-de-Paume vers la rue du Leughenaer. Des voies réservées aux bus seront aménagées, à l’approche des feux tricolores, rue du Leughenaer et boulevard Paul-Verley, de manière à fluidifier le trafic dans cette zone. Concernant le secteur de la gare en particulier, les travaux d’aménagement de la nouvelle gare routière sont en cours sur l’ancien parking jouxtant la gare SNCF. Les automobilistes stationnent désormais leur véhicule sur le parking de 270 places gratuites créé rue du Magasin-Général. Une fois la gare routière achevée, ce sera le tour de la place de la Gare et de ses abords de janvier à juin 2018. ensavoir+ www.dk-mobilité.fr (Focus) Réouverture prochaine de la pénétrante Hormis les voies de bus en site propre qui seront praticables en fin d’année, la pénétrante accueillera ses premiers usagers dans le courant du mois de septembre. Entièrement reconfigurée avec une vitesse désormais limitée à 50 km/h, elle sera accessible par la rue de Calais, et ce dans les deux sens de circulation. Rappelons que le quai de Mardyck, dont le chantier de rénovation est programmé d’octobre à mars, ne sera plus accessible qu’aux autobus, aux taxis et bien entendu aux riverains. (Encadré 1) 2 heures de stationnement gratuit place de Gaulle Vous pouvez dès à présent profiter de deux heures de stationnement gratuit sur l’une des 99 places du nouveau parking à enclos Bibliothèque, aménagé place du Général-de-Gaulle. Dès le 23 octobre, 60 places supplémentaires seront proposées avec 2 heures gratuites sur le cours François-Bart, à deux pas de l’hôtel de ville, tandis que le parking Dewulf, situé sur la place du Commandant-Dewulf, entre le boulevard Sainte-Barbe et la rue Poincaré, vous offrira 20 minutes gratuites pour des achats de courte durée. Sachez également que le parking Monoprix, accessible rue David-d’Angers, propose désormais 2 heures de stationnement contre 1 h 30 auparavant. Pour mémoire, les parkings gratuits du stade Tribut et du Môle 1 sont également à votre disposition notamment pour du stationnement de longue durée. Ils sont reliés au centre-ville soit par une navette gratuite (Môle 1), soit par un accès gratuit au réseau de bus (Tribut). (Encadré 2) Des cafés-chantiers pour vous informer Si vous souhaitez obtenir plus de précisions sur les chantiers en cours ou à venir, n’hésitez pas à rejoindre les cafés-chantiers organisés dans le bus de DK’Plus de mobilité. Il stationnera de 11 h à 13 h le mercredi 6 septembre place Charles-Valentin ainsi que le vendredi 29 septembre place de la Gare. Vous pouvez également contacter Allo Voirie au 03 28 25 92 70 ou visualiser l’application DK’Clic. Pour plus d’informations sur les bus, contactez le 03 28 59 00 78 ou l’application DK’Bus Live. (Encadré 3) Nouvel itinéraire pour la navette du Môle 1 Le service de navette du centre-ville est modifié à compter du 4 septembre pour proposer davantage de proximité aux habitants, salariés et visiteurs ainsi qu’une meilleure liaison avec les différents parkings de Dunkerque. Le nouvel itinéraire desservira, entre autres, le secteur de la Citadelle et la rue Poincaré, en contournement de la place Jean-Bart. La navette fonctionne gratuitement du lundi au samedi de 7 h 30 à 20 h avec un passage toutes les 10 minutes. ensavoir+ Tél. 03 28 59 00 78. www.dkbus.com. Extension du port : coup d’envoi du débat public Les trafics de conteneurs représentent un important vecteur de croissance des échanges maritimes vers l’Europe avec de grandes perspectives de développement. L’objectif du port est de conforter sa position de porte d’entrée pour toutes les régions Hauts de France et Grand Est, avec à la clé un potentiel de 16 000 créations d’emplois directs et indirects. C’est tout le sens du projet CAP 2020 qui sera soumis au débat public de fin septembre 2017 à fin janvier 2018. Doubler la taille du terminal (inter) Aujourd’hui, le terminal des Flandres, consacré au trafic conteneurs, dispose au Port Ouest de 1 250 mètres de quai et de cinq portiques de déchargement. Des travaux d’extension sont déjà en cours depuis février dernier pour porter ce linéaire à 1 805 mètres à l’horizon fin 2018. Si le projet CAP 2020 était validé par le conseil de surveillance du port à l’issue du débat public, ce seraient 2 000 mètres de quais qui viendraient s’ajouter aux 1 805 mètres existants, soit l’opportunité d’accueillir simultanément sur le terminal quatre porte-conteneurs supplémentaires de dernière génération ! Des quais mais aussi des entrepôts (inter) Ce chantier serait mené progressivement : une première tranche de travaux entre 2022 et 2025 (351 millions d’euros) et une seconde tranche (338 millions d’euros) dès les objectifs de trafics atteints. Dunkerque Port assurerait le financement des bassins, des quais et des voiries de desserte, et réalisera les travaux de terrassement nécessaires aux zones logistiques. Un opérateur privé, désigné par appel d’offres, prendrait quant à lui en charge l’outillage, les terre-pleins et la gestion de cette extension du terminal vers l’autoroute A16. En termes de trafic, le port de Dunkerque souhaite passer de 341 000 conteneurs traités l’an dernier à 600 000 en 2022, avec en ligne de mire le cap des 2,5 millions à l’horizon 2035. « C’est un projet réaliste et néanmoins ambitieux qui s’appuie sur des connexions multimodales performantes (voies ferrées, routes, voies fluviales) et pour lequel nous nous attacherons à mobiliser les financements », résume Stéphane Raison, président du Directoire de Dunkerque-Port. ensavoir+ Commission particulière du débat public, 7 rue David D’Angers. Tél. 03 28 25 24 38. www.portdedunkerque-debatpublic.fr Rencontre Jacques Archimbaud, Président de la commission particulière du débat public Pourquoi un débat public pour cette extension du port ? La loi l’impose pour tout projet d’équipement supérieur à 300 millions d’euros, ayant un impact sur l’environnement ou l’aménagement du territoire. Comment fonctionnera la commission ? Elle est composée de huit personnalités extérieures à la région qui recueilleront un maximum d’avis durant quatre mois. Elle rendra ensuite un rapport au maître d’ouvrage (le Port) et aux principaux financeurs (Europe, Etat, Région…). Il pourra être accompagné de préconisations, mais au final, c’est le Port qui décidera à l’été 2018 s’il concrétise ou non le projet. Comment ce débat sera-t-il organisé ? Il y aura cinq réunions publiques au cours desquelles chaque citoyen pourra prendre la parole. Des documents d’information et des auditions d’experts seront mis en ligne sur notre site Internet, où il y aura également un forum de discussion. Nous irons également à la rencontre des habitants avec un stand itinérant installé en divers lieux publics (gare, marchés…) et des rencontres ciblées seront organisées avec des chefs d’entreprises, des syndicalistes, des associations environnementales… (encadré) Première réunion publique le 28 septembre La première réunion publique consacrée à l’extension du Port ouest aura lieu le jeudi 28 septembre à 18 h 30 à la Chambre de commerce et d’industrie en Citadelle. Trois autres réunions sont programmées à la même heure à l’Atrium de Grande-Synthe (17 octobre), à la salle Coluche de Loon-Plage (15 novembre) et à Sportica Gravelines (14 décembre). Petite-Synthe, pôle de commerces et de loisirs Petite-Synthe connaît un renouveau commercial sans précédent. Tandis que la zone commerciale des Sintines offre une image dynamique au Kruysbellaert, l’écopark du Banc Vert accueille ses premières concessions automobiles et la ZAC du Pont Loby s’ouvre au secteur du loisir sportif. (châpo) Une zone commerciale attractive au Kruysbellaert Située à proximité du rond-point du Kruysbellaert à Petite-Synthe, la zone commerciale des Sintines affiche désormais complet avec la mise en service du second bâtiment, investi par trois nouvelles enseignes. Un Dunkerquois qui n’aurait pas mis les pieds au Kruysbellaert depuis plusieurs années ne reconnaîtrait plus l’endroit ! C’est une zone commerciale moderne et attrayante qui trône fièrement en entrée de ville, à la lisière des communes associées de Saint-Pol-sur-Mer et de Fort-Mardyck. Rappelons que cette métamorphose a connu une première étape majeure à l’été 2016 lorsque les quatre enseignes déjà présentes sur le site - Magik Dépôt, Aldi, Henri Boucher et ChaussExpo - auxquelles s’est joint le géant de la restauration rapide KFC, ont intégré un bâtiment flambant neuf édifié de l’autre côté du parking, côté chapelle et calvaire. Une fois ce déménagement opéré, les engins de chantier se sont remis à l’ouvrage dès septembre 2016 pour démolir l’ancien bâtiment vieillot contigu à la mosquée et au stade de la Perche, pour y construire un second volume de 3 500 m2. Il abrite depuis juillet dernier Electro Dépôt, discounter électro-ménager, le supermarché bio Naturéo et la salle de sport Basic Fit. Au total, ce sont quelque 80 emplois qui ont ainsi été créés à Petite-Synthe. Quant au parking (390 places), il a été agrandi par les promoteurs privés du projet, tandis que la Communauté urbaine avait réalisé auparavant des travaux de voiries : aménagement d’un rond-point rue du Général Mangin, réfection d’une partie de la rue du Kruysbellaert, création d’un accès direct à la RD 625… Il ne reste plus désormais qu’à procéder aux plantations d’arbres et à aménager les espaces verts. Ce sera chose faite dès cet automne. Témoignage Emilien Guilluy, Employé au restaurant rapide KFC Titulaire d’un CAP de Boucherie, j’étais au chômage depuis plusieurs mois lorsque j’ai été recruté, il y a un an, en CDI, par la chaîne de restauration rapide KFC au Kruysbellaert. Mon emploi consiste à préparer les morceaux de poulet avant la cuisson. Le restaurant marche bien et il y a une bonne ambiance de travail. L’achèvement de l’aménagement de la zone commerciale est un plus pour notre enseigne. Nous sommes prêts à accueillir de nouveaux clients ! Bientôt un espace de loisirs sur la ZAC du Pont Loby Les 7 000 m2 d'ateliers de l'ancienne société Point Cadre seront transformés en un espace de loisirs multi activités, dont l'ouverture au public est programmée d'ici la fin de l'année au Pont Loby. Trois enseignes spécialisées prendront place dans le bâtiment reconfiguré en rez-de-chaussée avec mezzanine. C'est ainsi que la société Soccer Park le Five, leader du marché national, occupera plus de la moitié de la surface disponible avec cinq terrains de foot en salle, plusieurs terrains de paddle et des salles d'escape game. Elle fonctionnera via des réservations sur Internet et proposera aux joueurs de revoir les buts du match sur écran vidéo dès le coup de sifflet final. Sports Zone sera elle aussi présente avec un simulateur de glisse unique dans la région, un Trampo Park, un mur d'escalade, un espace Take ball, un simulateur de golf, une Beach zone et une zone multi-activités régulièrement remise au goût du jour. Quant à la troisième enseigne annoncée, elle est déjà connue des Dunkerquois puisqu'il s'agit de Weare Fitness and Crossfit, qui quittera ses actuels locaux du Quai aux Fleurs à Rosendaël pour doubler sa surface d’activités à Petite-Synthe. Animé par une douzaine de salariés, le nouvel espace comprendra bien entendu des vestiaires, des douches et des coins restauration. L'accès se fera par l'avenue Jean-Monnet où deux entrées seront proposées, ainsi que 160 places de stationnement. Mercedes et Toyota au Banc Vert Les concessions automobiles Mercedes-Benz SAGA et Toyota Toys Motors viennent d’ouvrir leurs portes dans un bâtiment à l’architecture résolument moderne sur l’écopark du Banc Vert. L’édifice de 3 350 m2, construit le long de l’avenue de la Villette, surplombe un bassin végétalisé, avec une passerelle couverte pour relier les deux enseignes. Il s’agit des premières installations sur cette zone d’aménagement concerté de 5 hectares. Elles devraient être suivies par un négoce de véhicules d’occasion, une agence de location de véhicules et un cabinet paramédical (podologue, prothésiste dentaire…) Ces chantiers de construction devraient débuter l’an prochain pour une entrée en activité en 2019. Il est également envisagé d’y aménager, à plus longue échéance, un village d’activités pour des artisans, sans oublier des bureaux et d’autres commerces ou concessions automobiles. Parole d’élue Leïla Naïdji, Maire adjointe de Petite-Synthe Petite-Synthe a le vent en poupe en matière de développement commercial… Nous bénéficions d’un excellent positionnement près de grands axes de communication comme l’autoroute A16 ou la RD 625. Nous privilégions un développement concerté et raisonnable où, à l’image de la ZAC du Pont Loby, il est possible de faire cohabiter activités économiques sources d’emplois et bien-être résidentiel. C’est particulièrement vrai au Kruysbellaert… Nous profitons des aménagements de voiries liés au programme en cours DK’Plus de mobilité pour créer des liaisons douces sécurisés entre Dessinguez et le Kruysbellaert, tout cela en concertation avec les habitants. De même, nous venons de passer la rue du Kruysbellaert en sens unique, afin que le surplus de circulation automobile ne nuise pas aux riverains. Quel est le principal dossier en cours ? Il concerne le quartier Saint-Nicolas, où nous construirons, d’ici la fin 2018, 46 logements et aménagerons une maison de santé. Un travail sera également mené avec les habitants sur les espaces publics avec une première réunion FIL ce mardi 12 septembre à 18 h à la maison de quartier Pasteur. Un patrimoine qui n’a pas pris une ride ! Placées cette année sous le signe de la jeunesse, les Journées européennes du patrimoine vous feront (re)découvrir les hauts lieux de la vie dunkerquoise d’hier et d’aujourd’hui, le temps d’un week-end, les samedi 16 et dimanche 17 septembre. Tous les lieux témoignant de l’histoire de la ville accueilleront les visiteurs de manière libre ou guidée : le beffroi et son carillon, le port, la station de sauvetage en mer, la tour du Leughenaer, le « Duchesse Anne », le bateau-feu Sandettié, la petite chapelle Notre-Dame des Dunes, l’église Saint-Eloi, l’Hôtel des Douanes en Basse Ville, les musées, le FRAC, le Théâtre, l’Hôtel communuataire, la Halle aux sucres… Riches de leur identité, les quartiers se raconteront tout autant, à l’image de Malo-les-Bains qui dévoilera ses charmes architecturaux au départ du kiosque de la place Turenne, et Petite-Synthe, où une exposition retracera le passé militaire du Fort. Quant aux lieux de culte, ouverts à tous, ils montreront, par leur diversité, la pluralité confessionnelle d’une ville adossée à un grand port. Déambulation à la dunkerquoise Les Journées européennes du patrimoine offrent aussi l’occasion d’une belle balade aux quatre coins de la ville. Pour compléter la thématique de l’exposition « À pied, à cheval ou en voiture » proposée par les Archives municipales à la Halle aux sucres, tous les moyens seront bons pour s’approprier l’espace et poursuivre l’écriture de l’histoire du déplacement dans le Dunkerquois. Certains préfèreront suivre le « Fil des canaux » et son programme d’animations distillé du Minck à la Basse-Ville ; d’autres opteront pour une déambulation sonore et participative sur le Môle 1 avec la compagnie L’Hôtel du Nord. Il sera même possible d’assister dans la foulée à un récital de piano au LAAC et à une audition d’orgue à l’église Saint-Eloi. Des actions pour les jeunes Les plus petits trouveront leur bonheur au musée portuaire et à la bibliothèque Benjamin-Morel, où des trésors littéraires d’hier et d’aujourd’hui seront présentés de manière originale. Ils aimeront tout autant « L’Île aux enfants » des 4Ecluses et le tout nouveau LAAClub du LAAC, de quoi s’initier de manière ludique à la musique pour l’un et aux œuvres d’art pour l’autre. Plus avancés en âge, les étudiants de l’Ecole supérieure d’art (ESA) exposeront, en divers lieux, leurs vidéos, dessins et performances, ainsi que des maquettes sur la thématique de l’opération Dynamo. Quant aux élèves du conservatoire d’art dramatique, ils exprimeront leurs talents dans un théâtre de verdure inauguré en juin dernier au jardin de l’armateur. Les élèves de la section cinéma du lycée du Noordover présenteront pour leur part des courts métrages au Studio 43 et les étudiants de l’IUT TC vous inviteront à tester des box touristiques avec des parcours « gastronomie », « jeunes » et « Dk’vélo ». • Programme complet au 03 28 59 12 34 ou sur www.ville-dunkerque.fr. Le point sur l’avenue des Bordées Les riverains du Grand Large l’auront constaté avec satisfaction : l’aménagement de l’avenue des Bordées se poursuit ! Sur la première partie de l’artère, jusqu’au carrefour avec la rue des Goélettes, seuls les aménagements paysagers restent à réaliser. Sur la seconde partie de la rue, les travaux de voirie se prolongeront jusqu’au mois d’octobre : stationnement, trottoirs, voie verte, aire de dégagement pour les bus et aménagement du quai de la Cunette pour lequel des études de sol supplémentaires ont été commandées. Ces opérations ont également été l’occasion de créer un chemin de promenade le long des cales : une orientation décidée dans le cadre des Fabriques d’initiatives locales du Grand Large. Rappelons qu’avec la création de la voie de désenclavement du quartier, l’aménagement de l’avenue des Bordées et des rues adjacentes, ce sont 128 places de stationnement qui auront été créées, répondant ainsi à l’attente des riverains. Encore un peu de patience donc… C’est dit, c’est fait ! La rue de Cahors transfigurée ! A l’automne 2015, la Ville et la Communauté urbaine de Dunkerque entamaient les travaux de rénovation de la rue de Cahors : un long chantier de plus de 15 mois qui s’est achevé juste avant l’été. Concertés en amont des travaux, avec comme enjeu notamment le changement de régime de circulation de la rue, les riverains ont fait montre de patience : « Ils ont ouvert trois fois la chaussée » indique l’un d’eux pour expliquer la complexité des interventions qui se sont succédé. Assainissement, voirie, trottoirs, éclairage public, la rue de Cahors a subi un lifting complet dans sa partie entre la rue Aubrac et l’avenue de Petite-Synthe. Et le résultat semble aujourd’hui à la hauteur des espérances de chacun. INTER Enfin de vrais trottoirs ! « Avec le sens unique, il y a moins de circulation. Et aux intersections, ça se croise moins vite ! », témoigne Ludovic Blaetvoet, riverain. Finis les rodéos, grâce notamment aux aménagements paysagers réalisés à l’angle de la rue Verheecke. Un peu plus haut dans la rue, deux voisins échangent sur la largeur de la chaussée : « Pour faire son créneau, c’est parfois un peu juste. En revanche, sur les trottoirs, on peut désormais passer sans problème avec une poussette ! » De nouvelles habitudes à prendre donc. Avec un stationnement bilatéral marqué, des mâts d’éclairage flambant neufs et un double-sens cyclable, la rue répond aujourd’hui à tous les usages. « Il y a beaucoup moins de camions qu’avant, même si certains poids lourds passent encore par ici. » Embellie, sécurisée, adaptée aux besoins des habitants, la rue de Cahors rénovée est aujourd’hui une réalité : contrat rempli ! Rue après rue, la Ville améliore votre cadre de vie Qu’il s’agisse du programme de rattrapage de voirie planifié par la CUD ou de travaux de renouvellement des réseaux, le cadre de vie progresse dans nos rues. Point d’étape. Rue Léon-Blum Débutés le 6 juin, les travaux d’effacement des réseaux électriques s’achèvent : le basculement de l’électricité et de l’éclairage public est prévu du 4 au 15 septembre, suivi de la dépose des anciennes infrastructures du 18 au 29 septembre. La réfection de la voirie, trottoirs et chaussée, pourra alors être entamée du 2 novembre au 22 décembre. Rue Churchill Après une première tranche relative à l’assainissement menée en 2016 sur une partie de la rue, l’aménagement d’un quai de bus a débuté le 7 août dernier. A la demande des riverains et usagers de l’école Lamartine, des travaux de mise en sécurité de l’accès à l’établissement ont été entrepris : rétrécissement de la chaussée et donc de la traversée piétonne, création d’un trottoir traversant rue Anatole-France et de places de parking. Ces opérations seront suivies par la pose d’une nouvelle couche de roulement en chaussée, en cours de réalisation. La Ville s’engage aux côtés des associations Leur dynamisme, leur enthousiasme et leur créativité contribuent à faire de Dunkerque une ville qui bouge ! Les associations du territoire, qu’elles soient sportives, culturelles, ou qu’elles œuvrent dans le domaine de la solidarité, de l’environnement ou de l’économie, sont essentielles à notre territoire. Consciente de leur importance, la Ville souhaite aujourd’hui marquer concrètement son soutien au milieu associatif au sein d’une charte d’engagement réciproque. L’idée est simple : regrouper en un document unique l’ensemble des aides et des démarches d’accompagnement de la Ville à destination des associations afin de faciliter la communication, les encourager dans la poursuite de leurs activités, mais aussi permettre des échanges entre les associations en vue de faire émerger de nouveaux projets. Pour ce faire, la Ville convie l’ensemble des partenaires associatifs à une réunion de lancement de cette démarche le vendredi 29 septembre à 18 h à l’hôtel de ville de Dunkerque. A cette occasion, les associations pourront prendre connaissance des dynamiques déployées au niveau local pour soutenir la vie associative, exprimer leurs besoins, leurs interrogations et dialoguer avec les services municipaux. Encadré L’ADUGES et la Maison de la vie associative ont fusionné Afin de renforcer les services proposés et d’assurer une meilleure lisibilité auprès du public, l’Association dunkerquoise de gestion des équipements sociaux et la Maison de la vie associative ont fusionné au début de l’été. Proposant une offre de services commune et complémentaire, les deux entités vont travailler main dans la main dans les prochains mois dans le but de garantir aux associations un accompagnement de qualité en réponse à leurs demandes. Dunkerque s’affiche aux quatre coins de la planète ! De New York à Melbourne, en passant par Londres ou Johannesburg, la superproduction de Christopher Nolan a projeté l’histoire singulière de notre ville sur les écrans du monde entier. A moins d’être parti en vacances aux confins des terres australes, vous n’avez pu manquer l’événement… La sortie du film de Christopher Nolan « Dunkerque » à la mi-juillet a permis au monde de découvrir notre ville ! Quelle fierté de voir que Dunkerque est apparu sur les écrans de télévision américains, s’est affichée dans les abribus londoniens, ou que les magazines et journaux arabes, chinois ou africains ont évoqué le film et la ville dont il porte le nom. Une couverture médiatique sans précédent Car au-delà du film, c’est bel et bien notre ville qui s’est vue mise à l’honneur ! Si le tournage de la superproduction hollywoodienne avait déjà fait déplacer les médias il y a un an, la sortie officielle du film et l’avant-première réalisée à Dunkerque ont une nouvelle fois attiré l’attention des journaux des quatre coins du monde. De quoi entraîner des conséquences extrêmement positives sur la notoriété de Dunkerque, alors que le changement d’image est justement l’un des objectifs de la démarche d’accueil de productions cinématographiques portée par la Ville. Le mois dernier, le maire Patrice Vergriete a ainsi répondu aux questions de l’un des premiers quotidiens chiliens, la Tercera tandis que des journalistes du Danemark mais aussi de Belgique et d’Angleterre investissaient notre ville. Et cet engouement pour Dunkerque est loin de s’estomper… Le film de Christopher Nolan vient en effet tout juste de sortir en Chine et devrait conquérir le Japon dès le 9 septembre. Fréquentation touristique en hausse S’il est encore trop tôt pour dresser un bilan définitif de l’impact du film sur la saison touristique, l’office de tourisme a enregistré en juillet une augmentation de sa fréquentation de plus de 40 %. Sabine Lhermet, la directrice de l’office de tourisme le confirme : « Parmi les visiteurs étrangers, nous avons reçu beaucoup de Belges, de Hollandais et d'Anglais mais aussi des personnes d’origine plus lointaine tous très intéressés par l'histoire de l'Opération Dynamo. Ils ont aussi beaucoup apprécié les circuits que nous avons créés les amenant sur les traces des sites historiques de la bataille jusqu’aux lieux de tournage du film de Christopher Nolan. » Au FRAC, l’exposition « L’envers du décor » en témoigne également : plus de 6 000 visiteurs y sont comptabilisés lors des trois premières semaines d’ouverture. Accessible au sein de l’AP2 jusqu’en juillet 2018, elle accueillera encore de nombreux touristes internationaux qui sauront à présent placer Dunkerque sur la carte de l’histoire du monde et du septième art ! En chiffres -13 342 spectateurs ont vu le film de Nolan entre le mercredi 19 et le mardi 25 juillet, plaçant Ociné Dunkerque troisième cinéma de France pour « Dunkerque » - 9,5 millions de retombées économiques estimées selon une étude du Centre national du cinéma et de l’image animée - 4 523 visiteurs en juillet 2017 (1376 en juillet 2016) au musée « Dunkerque 1940 » rouvert à la mi-juillet Le « Dunkerque Tour à pied » joue les prolongations Initialement programmé jusqu'au dimanche 27 août, le « Dunkerque Tour à pied » sera proposé jusqu'au 30 septembre, 7 jours sur 7 à 15 h au départ de l'office de tourisme Station Balnéaire. Compte tenu du succès qu'il remporte et de l'importance de la fréquentation étrangère attendue en arrière-saison, l'office de tourisme continuera donc pendant plusieurs semaines de proposer cette balade qui emmène Dunkerquois et visiteurs à la découverte des lieux de tournage, en révélant de nombreuses anecdotes. Ensavoir+ « Dunkerque Tour à pied », à 15 h tous les jours jusqu'au 30 septembre Durée : 1 h 30 Tarif : 6 € par personne Réservations au 03 28 66 79 21 ou sur www.dunkerque-1940.fr Il y a 100 ans disparaissait Georges Guynemer Il y a un siècle aujourd’hui, le 11 septembre 1917, disparaissait le capitaine d'aviation Georges Guynemer lors d’une mission de routine au-dessus de la Belgique. Affecté à la base aérienne de Saint-Pol-sur-Mer, cet aviateur hors-pair au destin exceptionnel multiplia les combats durant la guerre, totalisant 53 victoires de 1915 à 1917. Dans le cadre de la commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale, la Ville a souhaité saluer la mémoire de ce héros de l’aviation française lors d’une manifestation qui aura lieu les 9 et 10 septembre à Dunkerque. Samedi 9, dès 17 h 30, sera ainsi présenté à l’hôtel de ville l’ouvrage « Terrains d’aviation militaire, Première Guerre mondiale » labellisé par la mission du Centenaire de la Première Guerre mondiale. A l’issue de cette manifestation, le capitaine de réserve citoyenne de l’Armée de l’air Frédéric Lafarge donnera une conférence sur le thème « A la vie, à la mort, Georges Guynemer le plus illustre des as de guerre ». Dimanche 10, après une cérémonie commémorative programmée à 10 h au monument en mémoire de l’aviateur rue des anciens chantiers de France, Patrick Oddonne, président de la Société d’histoire et d’archéologie de Dunkerque proposera une conférence sur le thème « Georges Guynemer (1894-1917) : les Flandres pour destin » à 11 h à l’hôtel de ville. Visite guidée au centre aquatique Georges-Guynemer C’est un équipement moderne, lumineux, et très attendu par les habitants qui a ouvert ses portes le 1er août dernier. Séance de rattrapage pour ceux qui n’auraient pas encore découvert le nouveau centre aquatique de Dunkerque. Elle a fière allure, la nouvelle piscine ! Niché au cœur de Dunkerque, entre Petite-Synthe et Saint-Pol-sur-Mer, le centre aquatique de 5 000 m² ne passe pas inaperçu avec ses larges baies vitrées et son toit ondulé figurant les vagues de l’océan. Destinée à recevoir aussi bien des sportifs de haut niveau que des familles, la piscine Georges-Guynemer répond habilement aux besoins de chacun. D’un côté, un bassin sportif de 25 mètres dimensionné pour l’organisation de compétitions et pour la pratique quotidienne de la natation, auquel sont accolés des gradins de plus de 200 places. De l’autre, une zone ludique composée d’un bassin d’apprentissage accessible aux personnes à mobilité réduite et d’une aire de jeux avec jets hydromassants, rivière à contre-courant, bancs massants et boule à vagues. Sans oublier le toboggan de 24 mètres qui serpente l’équipement ! Les tout-petits bénéficient quant à eux d’un espace de 50 m² qui leur est entièrement réservé à l’écart de la zone de passage : autour d’une grande banquette périphérique, une pataugeoire équipée d’un mini-toboggan et de jeux d’eaux spécifiques fait le bonheur des apprentis nageurs ! Structure unique au Nord de Paris, la fosse de plongée de 20 mètres qui trône au cœur de l’équipement accueillera les clubs dès le mois d’octobre. Pratique La piscine est ouverte du mardi au samedi de 9 h 30 à 12 h et de 15 h à 17 h puis de 17 h 30 à 19 h 30 et le dimanche de 9 h 30 à 12 h et de 15 h à 18 h. La journée du lundi est réservée aux scolaires et aux centres de loisirs pendant les vacances. Tarif : 2,70 € (adulte), 2 € (enfant). Rythmes scolaires : la parole aux parents Trois ans après avoir consulté les familles dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires, la Ville s’apprête à nouveau à questionner les parents d’élèves sur l'organisation de la semaine de classe dans les écoles. Explications. « La question des rythmes scolaires est trop importante pour que l’on ne puisse pas échanger ensemble dans l’intérêt de l’enfant. » Patrice Vergriete A Dunkerque, pas question de prendre de décision dans la précipitation. Si des communes* ont souhaité revenir dès la rentrée scolaire 2017-2018 à la semaine de quatre jours d'école suite à la parution du décret les autorisant à faire marche arrière, la Ville de Dunkerque veut se donner le temps de la réflexion et surtout de la concertation. « C’est une décision qui doit être collective, résume Patrice Vergriete. Nous devons dans un premier temps évaluer le dispositif actuel et échanger ensemble avec les parents d’élèves, les enseignants ainsi que les membres de la communauté éducative et les associations. » Evaluer, dialoguer, voter Pour débuter ce travail d’évaluation, la Ville a distribué dès le mois de juin aux parents d’élèves un questionnaire portant sur l’organisation scolaire et périscolaire en place afin de recueillir leurs appréciations et dégager des pistes d’évolution. Les résultats de cette enquête vont servir de base de travail pour une plus large concertation. Celle-ci débutera au dernier trimestre 2017 par une conférence animée par un spécialiste de l’éducation et de l’enfance. Un vote en janvier Des débats s’ensuivront durant l’automne au sein de chaque quartier : des groupes de travail avec les différents acteurs du territoire (enseignants, associations, éducateurs, parents d’élèves) seront ainsi constitués pour aboutir à une votation en janvier 2018 à laquelle seront conviés les parents d’élèves. « Les habitants auront toutes les cartes en main pour s’exprimer en leur âme et conscience sur l’organisation du temps scolaire à mettre en place pour l’année scolaire 2018-2019. Bien évidemment, comme nous l’avions fait en 2015, nous appliquerons la décision qui remportera le plus de suffrage », a rappelé Patrice Vergriete. *La commune associée de Fort-Mardyck a choisi le retour à la semaine des 4 jours d’école dès la rentrée 2017-2018. Des formations pour les représentants de parents d’élèves Parce que ce sont des partenaires essentiels du système éducatif et qu’ils sont les premiers éducateurs de leurs enfants, la Ville veut permettre aux parents de s’impliquer davantage encore dans l’éducation de leurs enfants et dans la vie de leur école. Elle souhaite également que les parents soient des acteurs à part entière dans les projets parentaux qu’elle met en place. C’est pourquoi des formations à destination des représentants de parents d’élèves seront mises en place dès novembre. L’objectif est double : aider les représentants de parents d’élèves en les accompagnant dans leur rôle fondamental et de leur pouvoir d’intervention au sein des établissements, mais aussi en leur donnant des outils pratiques afin de participer de manière plus active aux conseils d’école. Des ateliers d’échanges sur des thématiques partagées seront ainsi organisés deux fois par an. Afin de présenter ce nouvel outil de démocratie participative au service des parents d’élèves, deux réunions d’information ouvertes à tous* sont programmées le lundi 18 septembre à 17 h 30 à la mairie de Dunkerque (pour les habitants de Dunkerque-Centre et de Petite-Synthe) et le jeudi 21 septembre à 17 h 30 (pour les habitants de Malo-les-Bains et Rosendaël) à la mairie de Rosendaël. Les services de la Ville et de l’Education nationale seront présents afin d’expliquer leur rôle au sein de l’école. *Garderie gratuite sur place. Ensavoir+ Retrouvez le programme de la formation en détails sur www.ville-dunkerque.fr Les chantiers de l’été La Ville a engagé près d’un million d’euros de travaux en 2017 afin de rénover les écoles du territoire. Le groupe scolaire Dessinguez a ainsi bénéficié d’une véritable cure de jouvence avec l’isolation des murs et la réalisation de nouvelles peintures dans l’ensemble des salles de classe. Autre gros chantier, celui du groupe scolaire de la Meunerie : la toiture de l’établissement a été partiellement refaite et de multiples aménagements intérieurs ont été réalisés. Un préau va par ailleurs être construit avant la fin de l’année. Enfin, les fenêtres du premier étage de l’école Kléber ont entièrement été remplacées. Plus de bio dans leurs assiettes ! Dès la rentrée 2017-2018, la Ville va engager une expérimentation sur les menus de la restauration scolaire. Le principe est simple : augmenter la part des produits bio et des produits labellisés dans les menus servis à la restauration scolaire sans toutefois augmenter le coût pour les parents. Fruit d’un travail mené en concertation avec une diététicienne et avec les représentants des parents d’élèves des conseils d’écoles de Dunkerque au début du mois de juillet, cette mesure permettra aux élèves de bénéficier d’un troisième repas supplémentaire entièrement bio entre chaque période de vacances. Convaincue de la vertu des circuits courts tant en terme de qualité que de traçabilité des produits, la Ville poursuit ainsi sa politique de santé par l’alimentation. Saison estivale : un premier bilan positif Ils ne ménagent pas leurs efforts pour faire de Malo-les-Bains la plus belle plage du Nord ! Cette année encore, les services municipaux ont mouillé le maillot pour assurer aux habitants comme aux touristes d’agréables moments dans la station dunkerquoise. A l’heure du bilan, le résultat est positif. « Chaque été, notre station balnéaire monte en gamme », résume Martine Arlabosse, maire adjointe de Malo-les-Bains. « Après la création des terrasses sur le sable et l’installation de casiers-consignes pour simplifier les déplacements des estivants, nous avons choisi cette année de redessiner le parc à vélos et de lancer une campagne de communication aux allures vintage. Parallèlement, l’équipe d’animation a multiplié les activités nouvelles et gratuites comme la pirogue hawaïenne ou les cours de pêche en mer, le golf tandis que les services propreté de la Ville et du Syndicat intercommunal des Dunes de Flandre se sont une nouvelle fois démenés pour que notre plage demeure propre durant toute la saison. Au total, ce sont plus d’une centaine d’agents qui ont été mobilisés cet été pour répondre aux attentes de chacun. Un grand merci à eux. Et malgré une météo parfois capricieuse, les estivants étaient au rendez-vous ! » Un constat partagé par l’office de tourisme qui affiche une fréquentation du point d’accueil de la station balnéaire en hausse de 24 % en juillet par rapport à la même période en 2016. Si les effets de la sortie en juillet du film « Dunkerque » ont certainement contribué à ce succès, les efforts réalisés pour rendre à Malo-les-Bains son lustre d’antan ont également joué un rôle. La réfection de la digue des Alliés dans les mois à venir devrait encore permettre à la station balnéaire de séduire davantage de touristes.