La Ville connecte associations et bénévoles Vous souhaitez apporter votre savoir-faire, donner quelques heures de votre temps aux autres ou tout simplement rencontrer d’autres habitants autour d’une mission spécifique ? Connectez-vous vite sur la plateforme internet collaborative « jagispour dunkerque.fr » créée à l’initiative de la Ville. Son but ? Mettre en relation directe l'offre et la demande de missions bénévoles afin de permettre aux Dunkerquois de s'investir et de s’engager facilement sur notre territoire. Favoriser les actions d’intérêt général Très concrètement, les associations et les porteurs de projets (collectifs d’habitants, particuliers, etc.) publient sur le site internet des appels à mobilisation. Les Dunkerquois s'inscrivent sur la plateforme et trouvent des missions de volontariat bénévole, selon leurs centres d'intérêt, leur localisation et leurs disponibilités. Qu’elles soient ponctuelles ou régulières, ces actions collectives d'intérêt général, non concurrentielles avec des activités économiques, visent à favoriser l’entraide et le mieux-vivre ensemble, et, pourquoi pas, susciter des envies de s’investir dans le monde associatif... Basée sur un code de bonnes pratiques, la plateforme relaie les demandes d’entraide et les missions. Seul impératif pour les internautes : avoir plus de 18 ans ! Après la création du plan d’actions « Volontaire pour Dunkerque » et la mise en place des Journées d'actions volontaires, ce nouvel outil innovant constitue un pas de plus au service des Dunkerquois. Ensavoir+ : Connectez-vous vite sur jagispourdunkerque.fr ! Un coup de pouce pour l’accession à la propriété Afin de permettre aux familles de s’installer durablement et dans les meilleures conditions dans une des villes de notre agglomération, la Communauté urbaine octroie pour toute acquisition intervenue après le 16 juin 2016 une aide de 80 % du montant de la taxe foncière pour les personnes accédant pour la première fois à la propriété. Concrètement, le dispositif prévoit le remboursement de 80 % de la taxe foncière pour deux ans dans la limite de 1 200 euros par an. Pour bénéficier de cette subvention, rien de plus simple : rendez-vous sur le site www.dunkerque-communaute-urbaine.fr, rubrique « se loger ». Découvrez les dernières esquisses du projet « Quartier du Théâtre » ! Une fabrique d’initiatives locales (FIL) ferme ses portes dans le quartier du théâtre : une bonne nouvelle en vérité pour les participants puisque cela signifie tout simplement que le vaste projet de bibliothèque-médiathèque va désormais entrer dans sa phase de réalisation ! INTER De nouvelles esquisses… Le samedi 21 octobre après-midi, les participants à la Fabrique d’initiatives locales, les usagers de la bibliothèque et plus généralement toutes celles et ceux que le dossier intéresse sont conviés à un ultime forum sur le sujet. La Ville présentera les dernières perspectives intérieures du futur équipement à rayonnement d’agglomération : l’occasion de se projeter dans les différents univers proposés demain au public, enfants, jeunes, adultes, seniors, en individuel comme en groupe, pour des séances de lecture ou de recherches comme pour des moments plus conviviaux, de loisirs ou d’enrichissement culturel dans un lieu ouvert à la réflexion et l’action citoyennes. Egalement dévoilé lors de cette réunion : le futur jardin des arts ! Revisité à la lumière des préconisations du carnet des envies (rédigé dans le cadre des FIL) puis du ressenti des habitants face aux premiers schémas, le lieu est appelé à renaître : coloré, à la fois intimiste, ouvert sur le quartier et plus largement sur le centre-ville en conciliant les usages… INTER… et déjà de nouveaux services ! L’après-midi encore, la Ville et plus particulièrement le réseau des bibliothèques municipales présenteront les futurs services plébiscités lors des FIL et qui agrémenteront demain le futur équipement. Pour certains d’entre eux, les agents de la bibliothèque n’ont pas attendu leur nouvel écrin pour passer à l’action. C’est le cas par exemple de rendez-vous réguliers, mis en place à la demande des habitants : l’apéro livre du dernier vendredi du mois ou la projection de films chaque deuxième jeudi du mois en soirée. Enfin, les habitants assisteront à une présentation de la résidence seniors « La Cantate » et de ses services, ainsi que des aménagements relatifs au stationnement et à la circulation dans le quartier et plus globalement dans le centre-ville. Forum de clôture des FIL quartier du théâtre, samedi 21 octobre, de 15 h à 18 h au Bateau Feu. Patrice Vergriete à votre rencontre Après trois premières années intenses, passées à expliquer et à lancer les grands axes de la politique municipale, Patrice Vergriete, maire de Dunkerque et président de la communauté urbaine, est venu, tout au long de l’année 2017, à la rencontre des habitants, dans chaque quartier. A Dunkerque-Centre, il vous accueillera le mercredi 4 octobre à partir de 18 h 30 à la salle polyvalente des Glacis. Au programme de cette soirée : un premier temps consacrés aux projets initiés par la municipalité dans les domaines du développement économique du territoire, du cadre de vie, de la démocratie participative ou de la proximité entre les habitants et l’équipe municipale ; puis un second temps d’échange sur le quotidien et les besoins des riverains et usagers de Dunkerque-Centre. Lors de ce temps d’échange, Patrice Vergriete annoncera également le lancement des fabriques d’initiatives locales aux Glacis. La plaine des Graviers bientôt réaménagée Quel visage demain pour la plaine des Graviers au Banc Vert ? C’est la question qui a été posée le mardi 19 septembre dernier aux habitants dans le cadre des fabriques d’initiatives locales (FIL) ouvertes sur le quartier Banc-Vert/Louis XIV. La municipalité et l’agence d’urbanisme (AGUR), chargée d’animer les débats, ont invité les habitants à un diagnostic sur site. Les adultes ont ainsi pu partager leurs réflexions, mais pas seulement : accompagné par la maison de quartier, un groupe d’enfants âgés de 7 à 9 ans s’est lui aussi prêté au jeu… avec une certaine pertinence ! « Il faudrait mettre des panneaux « interdit aux chiens » sur l’espace engazonné, car on ne peut plus jouer au ballon ! » ; « Les grilles du city stade devraient être plus hautes » ; « Pourquoi pas imaginer un parcours d’aventure ou des trampolines intégrés au sol ? Peut-être un sol en bois pour danser »… INTER Premiers aménagements avant l’été Des remarques le plus souvent partagées par les grands qui ont ajouté quelques pistes de réflexion : pourquoi ne pas travailler sur l’origine du nom « plaine des Graviers » et sur le mur d’enceinte, qui mériterait d’être peint ou sablé. La question de la sécurisation de la chaussée qui sépare la plaine de l’école Meurisse a également été évoquée. Tout comme l’installation de tables et de bancs, susceptibles de garantir demain plus d’usages et donc plus d’échanges entre les riverains. Lors du prochain atelier, prévu début novembre, l’AGUR et la municipalité présenteront leurs premières propositions afin que des aménagements puissent être réalisés avant l’été 2018. Projet immobilier Saint-Nicolas : c’est parti ! Début septembre, Patrice Vergriete, maire de Dunkerque et président de la Communauté urbaine, a présidé à la pose de la première pierre du projet immobilier Saint-Nicolas. Porté par la SCCV Renaissance pour le compte du groupe Beci, celui-ci proposera 46 appartements, dont le rez-de-chaussée abritera une maison médicale et deux cellules commerciales. Attribués à l’entreprise Eiffage Construction, les travaux devraient être achevés fin 2018. Une nouvelle digue pour une nouvelle ambition Dans le cadre de la protection contre les submersions marines, la Communauté urbaine va engager fin octobre la rénovation de la digue des Alliés à Malo-les-Bains. Un chantier colossal qui va en outre permettre de renforcer l’attrait touristique de notre front de mer. L’été sur la plus belle plage du Nord s’achève avec un bilan extrêmement positif : boosté par l’effet « Nolan », notre station balnéaire enregistre des chiffres record ! (voir encadré). C’est fort de ce succès que la Communauté urbaine va intervenir dès octobre sur la digue des Alliés. L’objectif est double : lutter contre les phénomènes de submersion marine qui s’accentuent du fait du réchauffement climatique tout en profitant de cette opportunité pour proposer un aménagement de qualité, ancré dans de nouveaux usages pour la station touristique. Un ouvrage de protection de 60 cm Les anciens se souviennent certainement de la tempête de 1953 qui avait provoqué la destruction de la digue des Alliés ou, plus récemment, de la tempête de 2013 qui avait occasionné des dégâts chez les restaurateurs du front de mer. Malgré le rechargement en 2014 de près de 1,5 million de m3 de sable par le Grand Port Maritime, il devenait urgent de fixer le trait de côte de manière pérenne. S’appuyant sur un comité scientifique, la Communauté urbaine va construire un ouvrage de protection capable de contenir un événement climatique exceptionnel telle une marée centennale qui tienne compte de l’élévation du niveau de la mer. Très concrètement, il s’agira de rehausser la partie de la digue soumise à submersion qui se situe entre la rue de la Plage et la rue Belle Rade. La tête du perré de la digue sera relevée de 60 cm sur une largeur de 2,5 m. Cet aménagement sera couplé au maintien d’un niveau de plage haut, garanti par des approvisionnements en sable réguliers. Une digue encore plus attractive En réponse aux attentes des usagers, l’ouvrage de protection sera agrémenté d’assises de bois et de solariums. Complètement intégré à l’environnement balnéaire, ce nouvel aménagement offrira une nouvelle ambition à la digue. Face aux commerces, des terrasses de bois surélevées au-dessus de la plage pourront ainsi être exploitées par les restaurateurs. D’autres bains de soleil seront également installés sur ces petits promontoires. Enfin, des accès réguliers seront créés pour permettre aux promeneurs de rejoindre la plage. Deux ans de travaux Les sanitaires et le poste de secours situés à l’ouest de la digue des Alliés seront recréés et associés à une grande rampe en pente douce, dans laquelle seront intégrées des assises ludiques. Parallèlement à cela, les escaliers des îlots bleus seront réhabilités sur la base des plans initiaux de l’architecte. Côté place du Centenaire, un revêtement en béton lissé sera posé au sol tandis que la rehausse anti-submersion servira de gradins afin d’accueillir des spectateurs lors des animations estivales. Enfin, le revêtement de la digue des Alliés sera refait avec un dallage de couleur sable tandis que le stationnement des véhicules et l’éclairage public seront entièrement revus cet hiver. Côté calendrier, pas d’inquiétude : si les travaux s’étalent sur deux ans, une pause de six mois permettra aux Dunkerquois comme aux vacanciers de profiter des premiers aménagements de la digue ! Focus Affluence record dans la station balnéaire ! « La fréquentation touristique de Dunkerque a bondi de 63 % entre 2014 et 2017 », a rappelé Patrice Vergriete. « Et les touristes étrangers sont de plus en plus nombreux. Désormais, on existe sur la carte du monde ! » Cet été, plus de 52 000 personnes ont été accueillies dans les offices de tourisme de Dunkerque. Même constat au camping de la Licorne qui a enregistré 25 696 nuitées contre 23 539 l’an passé tandis qu’ils étaient plus de 14 500 à fouler le parquet du Carré Plage. Et que dire du musée Dynamo, qui a vu sa fréquentation doubler alors même qu’il n’a rouvert qu’à la mi-juillet ? Portée par une clientèle européenne, la saison a été couronnée de succès. Le saviez-vous ? Le niveau de la digue de mer n’est pas constant sur l’ensemble de notre territoire ! Invisible à l’œil nu, la digue monte progressivement jusque Leffrinckoucke. En effet, si vous vous promenez digue des Alliés, vous êtes tout proche du niveau de la mer alors que si vous poursuivez votre balade jusque Malo-Terminus, la digue est surélevée de plusieurs dizaines de centimètres. C’est la raison pour laquelle les travaux de lutte contre la submersion marine ne concernent que la partie basse de la digue, située entre la rue de la Plage et la rue Belle Rade. Calendrier Octobre 2017 - avril 2018 Intervention sur la digue entre la rue de la plage et la rue Tancrède : Réfection des réseaux ; remise en état du perré et création de la rehausse puis pose d’un nouveau dallage, réfection de l’éclairage public et création des terrasses hautes. Octobre 2018 - avril 2019 Intervention de la place du Centenaire à la rue Belle Rade : Réfection des réseaux ; remise en état du perré et création de la rehausse puis pose d’un nouveau dallage. Intervention sur la partie haute de la digue des Alliés : Pose d’un nouveau dallage, création d’une rampe et réfection du poste de secours et des sanitaires. Cure de jouvence aux Ilots bleus Parallèlement à la rénovation de la digue des Alliés, c’est un secteur longtemps délaissé qui devrait bénéficier d’une cure de jouvence dans les prochains mois. Petits joyaux du bord de mer édifiés dans les années 1950 par les architectes de la Reconstruction Yervant Toumaniantz, Jean Roussel, François Verleyen, et Jean Pauwels, les Ilots bleus situés rue du Kursaal, rue de la Plage, et rue de la Digue vont en effet profiter d’un plan de ravalement obligatoire dès janvier 2018. Ce dispositif vise à inciter les propriétaires de ces logements à faire des travaux sur les façades de leurs habitations pour en améliorer l’état et l’esthétique. L’objectif est de poursuivre la transformation de la station balnéaire, en s’appuyant notamment sur une architecture riche trop longtemps ignorée. Des travaux subventionnés L’opération permettra ainsi aux propriétaires concernés, qu’ils soient bailleurs ou occupants, de bénéficier de subventions de 30 % suivant les conditions déterminées par arrêté municipal. Un délai de deux ans pour réaliser les travaux de ravalement sera octroyé. Des bonifications du montant de la subvention seront par ailleurs accordées aux propriétaires faisant appel à un maître d’œuvre ou bien encore si le ravalement de la façade est mis en œuvre dans les six mois à compter de la notification du maire. Le versement de la subvention interviendra après la réalisation des travaux dûment constatée. Dès lors, les îlots bleus - surnommés ainsi du fait de l’intégration de quartz bleu dans le béton des façades - devraient retrouver toutes leurs couleurs ! *La notification formelle de l’arrêté municipal sera adressée au syndic, mandataire de la copropriété. Nouveaux aménagements place Paul-Asseman Cure de jouvence pour la place Paul-Asseman ! Après une première phase de travaux menée au printemps le long de l’avenue de la Libération avec notamment la rénovation de la chaussée et la création de pistes cyclables, le secteur de la place Paul-Asseman poursuit sa mue. Le parking situé devant la piscine et la patinoire va être rénové : d’ici la fin du mois de décembre, il conservera le même nombre de places de stationnement et proposera une entrée et une sortie uniques à proximité du pont Lefol. L’aménagement permettra également d’installer des panneaux lumineux qui indiqueront le nombre de places disponibles afin d’offrir plus de confort aux automobilistes. Un trottoir sera par ailleurs créé le long du parking pour sécuriser le parcours des piétons et des cyclistes sur la chaussée. Parallèlement à cela, de nouveaux espaces verts et des plantations d’arbres seront mises en place tandis que l’éclairage public sera entièrement rénové. Ensavoir+ www.dk-mobilite.fr Plus d’informations sur les travaux auprès d’Allo voirie. Tél. 03 28 25 92 70. Le Grand Hôtel & Spa en figure de proue de prestige Situé sur un espace privilégié de 11 hectares à l’entrée de la digue des Alliés, face à la mer, le Grand Hôtel & Spa 4* de Malo-les-Bains imaginé par l’opérateur immobilier Pichet devrait permettre à Malo-les-Bains de retrouver toute sa splendeur et son attractivité. D’ici deux ans en effet, les premiers clients pousseront les portes de cet équipement haut de gamme comprenant une centaine de chambres, un restaurant à la cuisine inventive et un équipement de bains de premier ordre ouverts à tous. Le programme, qui prévoit également la création d’un ensemble de logements de standing en accession à la propriété et de quelques commerces aux activités, devrait contribuer à créer à terme plus de 70 emplois directs, sans compter les 100 emplois associés à la construction des bâtiments. Les premiers coups de pioche sont programmés au cours du premier trimestre 2018. Parole de restaurateurs Laurent Flandrin, gérant de La Scala « Je trouve que le projet qui nous a été présenté est très adapté à notre architecture balnéaire. Le rehaussement de la digue s’intègre parfaitement au paysage et va permettre d’embellir l’espace. Les élus et les techniciens de la Communauté urbaine et de la Ville ont pris en compte certaines de nos contraintes. A terme, c’est l’intégralité de la digue et des commerçants qui vont bénéficier de ce nouvel aménagement. » Rémi Defossez, gérant du Sucré-Salé « Les travaux qui vont être engagés sur la digue, et notamment la création de terrasses de bois, vont me permettre d’étendre encore un peu plus la surface de mon établissement. En plus de ça, la création du grand hôtel va amener une nouvelle clientèle sur le front de mer. C’est une très bonne nouvelle car le monde attire le monde ! » Donatien Santy, gérant de « La Cheminée » « On sent aujourd’hui qu’une dynamique et un regard sont portés sur la digue de Malo. L’installation de la vidéosurveillance, les efforts réalisés en matière de propreté et le développement des animations permettent aux familles de revenir sur la plage… Et puis, ce ne sont pas forcément les activités les plus coûteuses qui attirent du monde. Le défilé des Coccinelle en septembre ou la course des garçons de café organisé cet été en sont des exemples très concrets ! » Les usagers consultés Soucieuse de recueillir l’avis de chacun avant de requalifier la digue de mer, la Communauté urbaine a réalisé durant l'été 2016 une grande enquête auprès de 800 usagers. Parmi les nombreux points soulevés lors de cette concertation figurent notamment les usages ludiques, la circulation des deux-roues ou encore l’animation de la station. Ces remarques ont été intégrées dans la définition du projet de rénovation de la digue. Quant aux commerçants du front de mer, ils ont pu s’exprimer lors de rencontres sur le terrain programmées ces derniers mois. Nouveau plan de circulation en centre-ville le 23 octobre Les travaux d’extension de l’espace piéton de la place Jean-Bart débuteront le 23 octobre entre les rues de la Marine et Poincaré pour se poursuivre jusqu’à la mi-décembre. Ils seront accompagnés de la mise en place d’un nouveau plan de circulation définitif qui concernera plusieurs rues du secteur. C’est ainsi que le sens de circulation de la rue de l’Amiral-Ronarc’h sera inversé (de l’église Saint-Eloi vers le quai des Hollandais). Il en ira de même pour la rue du Président-Wilson qu’on empruntera désormais du boulevard Alexandre-III vers la rue de l’Amiral-Ronarc’h, ainsi que pour les rues de la Maurienne et du Maréchal-French (du quai des Hollandais vers la rue Clemenceau). La voie de contournement de la résidence Salengro verra elle aussi son sens de circulation inversé de la rue de l’Amiral-Ronarc’h pour rejoindre la rue de la Maurienne. Quant à la place de la République, elle sera mise en sens unique du boulevard Alexandre-III vers la rue du Sud, avec à la clé un gain de places de stationnement. La circulation dans le quartier de la gare sera elle aussi complètement modifiée avec un accès à la gare via l’avenue Guynemer et une sortie par la rue du Chemin de Fer. L’accès au quai de Mardyck sera également inversé : l’entrée se fera depuis l’avenue Guynemer et la sortie par la rue de Saint-Pol. D’autres changements seront réalisés en fin d’année, une fois les travaux de voirie achevés autour de la Tour Guynemer. Stationner gratuitement pour faire ses courses en centre-ville Après la place de-Gaulle, deux nouveaux parkings proposeront une gratuité de stationnement à compter du lundi 2 octobre : cours François-Bart (2 heures) et place du Commandant-Dewulf (20 minutes). (châpo) Le centre-ville est en chantier, mais ses commerces demeurent plus que jamais accessibles, que ce soit en termes d’offre de stationnement de proximité pour les automobilistes ou d’accès piétons sur les trottoirs. Au total, ce sont près de 2 000 places de stationnement qui sont concernées par la gratuité en centre-ville. Dans le cadre du projet Phoenix et en parallèle aux chantiers de rénovation du centre-ville menés par le programme DK’Plus de mobilité, la Ville poursuit la mise en œuvre de son plan de stationnement avec la création, le 2 octobre, de 80 places en surface sur le cours François-Bart, à deux pas de la rue des Sœurs-Blanches. Ici, point de barrière comme pour les parkings en enclos, mais un système d’horodateurs à plaques. Une fois son véhicule garé, l’automobiliste entre le numéro de sa plaque d’immatriculation dans l’horodateur et indique la durée de stationnement souhaitée. Si elle est inférieure ou égale à deux heures, le ticket à déposer à l’arrière du pare-brise sera gratuit ; si elle dépasse deux heures, il n’aura à régler que le temps de dépassement. Attention, ces deux heures gratuites ne sont pas fractionnables et ne sont offertes qu’une fois dans la journée. Par ailleurs, le parking ne sera accessible les mercredi et samedi qu’en début d’après-midi à l’issue du nettoyage du marché. À la même date, le parking Dewulf (24 places), situé place du Commandant-Dewulf, entre la rue Poincaré et le boulevard Sainte-Barbe, proposera 20 minutes de stationnement gratuit pour des achats de courte durée. Il fonctionnera selon le même principe que celui du cours François-Bart. Un maximum de gratuité (inter) Cette extension de l’offre de stationnement vient elle-même s’ajouter aux deux heures gratuites offertes depuis le mois de juillet sur un parking en enclos de 100 places aménagé place du Général-de-Gaulle, ainsi qu’à la gratuité permanente du nouveau parking de la gare qui compte désormais 270 emplacements. Rappelons également que depuis 2014 le stationnement est gratuit du lundi au samedi de 12 h à 14 h en voiries ainsi qu’à partir de 18 h, le dimanche toute la journée, dès 18 h tous les jours de la semaine etle samedi toute la journée sur les parkings en enclos et qu’une application smartphone (PayByPhone) offre 20 minutes gratuites chaque jour sur les emplacements en surface. De plus, sur les quelque 7 000 places de stationnement recensées en surface en centre-ville, 5 000 d’entre elles demeurent gratuites 7 jours sur 7. En attendant le parking silo Guynemer (inter) La prochaine étape du plan de stationnement aura pour cadre l’esplanade Guynemer avec la mise en service, fin 2018, d’un parking silo de 258 places, sur trois niveaux, avec deux heures gratuites. Les travaux seront lancés en début d’année prochaine. Fin 2018 toujours, un millier de places de stationnement, situées au pourtour de l’hyper-centre et actuellement en zone verte payante du lundi au samedi, deviendront gratuites le samedi : citons, entre autres, le quai de la Citadelle, le quai des Hollandais (en plus du parking en enclos), l’extrémité de la rue French, la rue du Leughenaer, l’entrée du port (entre la place du Minck et la Citadelle), les rues Michel-de Swaen, Jean-Jaurès, Louis-Lemaire, de Bourgogne, une partie de la rue des Sœurs -Blanches, les principales voiries du quartier Soubise… Légende photo : Les travaux de construction du parking silo Centre-Gare (258 places) débuteront en décembre prochain sur l’esplanade Guynemer pour une mise en service fin 2018. Encadré Des parkings de proximité Dunkerque présente un centre-ville à échelle piétonne, l’objectif est donc de proposer aux automobilistes qui y effectuent des courses ou des démarches administratives des parkings faciles d’accès à pied. Quant aux parkings relais du stade Tribut et du Môle 1, un peu plus éloignés mais reliés au cœur de la ville par des bus et navettes, ils sont avant tout destinés aux salariés qui ont besoin d’un stationnement de plus longue durée. Avec les aménagements urbains en cours, liés au projet DK’Plus de mobilité, on pourra accéder très facilement au centre-ville, que ce soit en voiture, en bus gratuit, à vélo, avec en prime des circulations piétonnes beaucoup plus agréables et sécurisées. Mémo Le projet Phoenix Lancé par la municipalité en septembre 2014, le projet Phoenix affiche trois grandes ambitions : redynamiser le commerce du centre-ville, créer un pôle de loisirs et de divertissement autour du Pôle Marine et du Môle 1 et, à plus longue échéance, créer un pôle tertiaire autour de la gare. Outre le plan de stationnement, de nombreuses actions ont déjà été mises en œuvre ou sont en cours de réalisation : restructuration des espaces publics en lien avec le projet DK’Plus de mobilité, projet immobilier mixant commerces et logements aux abords du parc de la Marine, programme de rénovation des façades places Jean-Bart et de la République, développement de la vidéo-surveillance et des effectifs de la police municipale, renforcement des équipes propreté, gratuité du bus le week-end, animations sur la place Jean-Bart, création d’un office du commerce… Encadré de côté fond couleur Des parkings pour tous les usages de la ville Gratuits Nouveau parking de la gare (270 places gratuites) Môle 1 (250 places gratuites) Stade Tribut (250 places gratuites) Place Vauban (60 places gratuites) 1 à 2 heures gratuites Bibliothèque, place de-Gaulle (100 places, 2 heures gratuites) Hôtel de Ville, cours François-Bart (80 places, 2 heures gratuites) Centre Marine (250 places, 2 heures gratuites) David d’Angers (Monoprix), rue David-d’Angers (80 places, 2 heures gratuites) Pôle Marine (660 places, 1 heure gratuite) Centre-Gare, parking silo esplanade Guynemer (258 places, 2 heures gratuites fin 2018) 20 minutes gratuites avec horodateur à plaques, plus gratuité de 12 h à 14 h Place du Commandant-Dewulf (24 places) 20 minutes gratuites avec PayByPhone, plus gratuité de 12 h à 14 h Place Castagnier (24 places) Place Saint-Eloi (18 places) Place de la République (70 places) Place Jeanne-d’Arc (35 places) Gratuits le week-end Marine 1, rue des Fusiliers-Marins (105 places en enclos) Quai des Hollandais (120 places en enclos) Payant Place Jean-Bart (192 places, en souterrain). Focus Le parking souterrain du Kursaal Situé face au Palais des Congrès, le parking du Kursaal (250 places sur un niveau) vous offre lui aussi deux heures de stationnement gratuit chaque jour de septembre à juin, et 10 heures en juillet et août. Au-delà des deux heures gratuites, il propose une tarification au quart d’heure d’un montant de 0,30 € ; soit, par exemple, 0,60 € pour 2 heures 30 de stationnement ou 2,40 € pour 4 heures. Il est également possible d’y souscrire un abonnement. Tél. 03 28 66 22 40. Aliphos dans les starting-blocks à Mardyck ! Spécialisée dans la production de phosphates pour l’alimentation animale, l’usine Aliphos entrera en activité d’ici la fin de l’année sur un terrain de 10 hectares au Port Ouest. Le groupe belge Ecophos, dont Aliphos est une filiale, a investi 75 millions d’euros et créé 100 emplois (50 directs et 50 indirects) pour son unité de production dunkerquoise qui fonctionnera 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sur une partie du site de l’ancienne raffinerie Total à Mardyck. Non classée Seveso, peu consommatrice d’énergie et non polluante, elle devrait produire chaque année quelque 220 000 tonnes de DCP (dicalcium phosphate dihydraté), dont une partie est destinée au marché français et le solde exporté dans le monde entier. Ce produit, indispensable à la croissance du squelette, sera utilisé comme matière première dans la fabrication d’aliments complets pour toutes les espèces animales (porcs, poulets, vaches, chiens, aquaculture…), au même titre que le soja, les vitamines, le maïs… Devenir le numéro un européen « La mise en service du site dunkerquois permettra à Aliphos de devenir le premier producteur européen de phosphates dédiés à l’alimentation animale avec 50 % de parts de marché contre 30 % aujourd’hui », souligne le directeur du site Jean-Philippe Loy. Et ce n’est pas fini puisque Aliphos dispose d’une capacité d’extension de 4 hectares qu’elle compte bien utiliser ultérieurement pour des développements innovants ! Il est vrai que le marché des phosphates est extrêmement porteur pour l’alimentation humaine comme animale. À l’image de l’eau, le phosphate est essentiel à la vie. Il est tout simplement irremplaçable. Présent dans chaque cellule de l’organisme, il est par ailleurs impossible à synthétiser chimiquement. Or, la ressource de qualité se raréfie et coûte cher. Il n’y a aucune mine de phosphate à haute pureté en Europe, tandis que les gisements présents au Maroc, en Chine, aux Etats-Unis, en Russie et en Afrique du Sud seront taris d’ici huit décennies. En revanche, les gisements de basse qualité sont nombreux dans le monde et donc d’un prix abordable. Une manne pour Ecophos qui est le seul groupe au monde capable de valoriser ce type de minerais selon les normes européennes, le seul à même de transformer le « faible » en « excellent » ! Légende photo : Le chantier de construction de l’usine Aliphos a mobilisé simultanément jusqu’à 200 ouvriers et techniciens de mai 2016 à septembre 2017. (Zoom) Des trafics pour le port En rythme de croisière, l’usine Aliphos importera des matières premières d’Afrique du Nord par voie maritime - 300 000 tonnes de roches phosphatées et de l’acide phosphorique qui sera acheminé du bord à quai par un pipeline -, tandis qu’elle exportera de 130 000 à 140 000 tonnes de produits finis vers tous les continents. Elle recevra également de l’acide chlorhydrique par camions de France, de Belgique et d’Allemagne, en attendant l’ouverture au Port Ouest de l’usine Indaver, à laquelle elle pourrait être reliée par pipeline. Quelque 100 000 tonnes de blocs de calcaire des Carrières du Boulonnais seront transportés au Port Ouest par camions, en attendant le raccordement programmé de l’usine au réseau ferroviaire. (Encadré 1) Ecophos, un groupe en pointe Créé en 1996 par Mohamed Takhim avec le concours d’investisseurs, EcoPhos développe et commercialise des procédés innovants dans la chimie des phosphates destinés essentiellement aux engrais et à l’alimentation humaine et animale. Ils permettent à la fois de réduire les coûts de production et de diminuer l’impact sur l’environnement. Le groupe, dont le siège et le principal centre de recherche et développement sont situés à Louvain-la-Neuve (Belgique), compte plus de 300 salariés. Il dispose d’un bureau d’études à Lummen et de 8 bureaux commerciaux répartis en Europe. Par sa filiale Aliphos, il est également producteur d’alimentation animale. Aliphos compte trois sites de production : Rotterdam (Pays-Bas), Devnya (Bulgarie) et bientôt Dunkerque, en attendant de nouvelles unités opérationnelles en Inde (2019) et en Egypte (2018 et 2020). Rencontre John Gustin, directeur général d’Aliphos Comment se passe votre installation à Mardyck ? Nous terminons les derniers travaux de construction et avons achevé les opérations de recrutement. Les phases d’essais débuteront en octobre, nous sommes dans les temps. Je tiens à souligner que nous avons été formidablement accompagnés sur le Dunkerquois dès le lancement de notre projet, que ce soit par le port, les services de l’Etat, le groupe Total, Dunkerque Promotion, Pôle Emploi, la Communauté urbaine, la Chambre de commerce… Avez-vous connu des difficultés pour recruter vos collaborateurs ? Tout s’est bien déroulé dans ce domaine également. Nous avons recruté des personnes motivées, venues d’horizons différents et très compétentes techniquement. Le savoir-être, l’ouverture d’esprit et l’esprit d’équipe ont été des critères primordiaux, car ils vont acquérir l’essentiel des savoirs au fil des mois sur le site. Le seul bémol concerne la maîtrise de l’anglais, indispensable dans une entreprise internationale comme la nôtre. Vous nourrissez de grandes ambitions pour le site de Dunkerque… C’est exact. Nous sommes dans un marché en plein développement. Nous visons le million de tonnes de production à l’horizon 2020 et nous comptons sur notre unité dunkerquoise pour y parvenir. Michaël Desmadrille, chef d’équipe « Pour moi qui suis un ancien de la raffinerie SRD, Aliphos m’offre la possibilité d’écrire un nouveau chapitre de ma vie professionnelle. C’est ultra-motivant de participer à la mise en service d’une nouvelle unité de production et de la développer dans le temps. Nous ne pouvons qu’adhérer aux valeurs du groupe Ecophos, car ce sont celles qui ont construit, au fil des décennies, le développement de l’industrie à Dunkerque. » Terry Bonte, opérateur en production « Nous disposons à Dunkerque d’un outil ultra-moderne qui devrait faire de notre unité de production une vitrine du groupe Ecophos. On nous fait confiance pour relever le défi et cela n’a pas de prix. Le groupe est en pointe en matière de recherche de nouveaux procédés qui préservent l’environnement. À nous de les mettre en œuvre collectivement. C’est une belle aventure qui commence ! » Nouvelle implantation industrielle au Port Est : 70 emplois à la clé Patrice Vergriete l’a annoncé lui-même le 9 septembre dernier : l’entreprise Dunkerque Multibulk Terminal (DMT) envisage de s’étendre sur le territoire en construisant une nouvelle unité de production de matériaux de construction sur le Port Est de Dunkerque. Ce projet, qui représente un investissement total de 40 millions d’euros sur deux ans, devrait engendrer la création de 70 emplois directs. Cette nouvelle activité aura également des impacts très positifs en termes de trafics maritimes pour le Port, tant à l’import qu’à l’export, et de commandes de sous-traitance vers les entreprises de services industriels. Pour Patrice Vergriete, « cette nouvelle implantation fortement pourvoyeuse d’emplois démontre la capacité de notre territoire à attirer les leaders industriels et à répondre à leurs attentes tant en termes de main-d’œuvre qualifiée que de services à l’industrie. Depuis trois ans, c’est déjà la quatrième installation industrielle sur notre territoire, montrant ainsi le retour du dynamisme industriel du Dunkerquois. » Pour l’heure, la société DMT a soumis son projet à enquête publique jusqu’au 18 octobre. C’est à l’issue de cette phase d’enquête que le préfet du Nord prendra une décision d’autorisation ou de refus d’exploitation. Enquête publique jusqu’au 18 octobre L’enquête publique est ouverte à la mairie de Dunkerque jusqu’au 18 octobre. Un commissaire-enquêteur se tient à la disposition du public le mercredi 11 octobre de 9 h à 12 h et le mercredi 18 octobre, jour de la clôture de l’enquête, de 14 h à 17 h. Etudiants, pensez au RME ! Le revenu minimum étudiant (RME) est une allocation qui s’adresse aux jeunes âgés au plus de 26 ans en études supérieures ou en études spécifiques, pouvant attester de deux ans de résidence des parents sur Dunkerque, Mardyck ou Fort-Mardyck. D’un montant plafonné, sous conditions de ressources, cette bourse vise à aider les jeunes pour préparer leur rentrée et leur parcours (acquisition de fournitures, ordinateur, livres, etc.). En savoir+ Les dossiers de demande de RME sont disponibles au CCAS dans les antennes de quartier ou téléchargeables dès le 2 octobre sur le site www.ville-dunkerque.fr/rme La Ville recrute des jeunes en service civique Vous avez entre 18 et 25 ans et vous souhaitez participer à des actions citoyennes ? Et si vous optiez pour le service civique ? La Ville recrute des volontaires pour une durée de huit mois afin de travailler sur le développement durable, la médiation urbaine ou encore l’accompagnement social. Les jeunes bénéficient d'un contrat de 28 heures par semaine, réparties entre réunions, formations, missions collectives ou travail sur leur projet d’avenir, et perçoivent une indemnité de 567 € par mois. Intéressés ? Alors, rendez-vous à l’une des réunions d’information* où vous pourrez retirer un dossier d’inscription à retourner pour le 31 octobre. *Prochaines réunions : le 9 octobre à 14 h à l'Espace Maillart au Jeu de Mail, le 11 octobre à 10 h à la mairie de Malo-les-Bains, le 16 octobre à 16 h à l'Entrepôt (Maison des étudiants), le 18 octobre à 17 h 30 à la mairie de Rosendaël, le 19 octobre à 10 h à la mairie de Petite-Synthe et à 14 h à la mairie de Saint-Pol sur Mer, et le 20 octobre à 10 h à la mairie de Fort-Mardyck. Ensavoir+ Tél. 03 28 26 29 60 Nouvelle implantation industrielle au Port Est : 70 emplois à la clé Patrice Vergriete l’a annoncé lui-même le 9 septembre dernier : l’entreprise Dunkerque Multibulk Terminal (DMT) envisage de s’étendre sur le territoire en construisant une nouvelle unité de production de matériaux de construction sur le Port Est de Dunkerque. Ce projet, qui représente un investissement total de 40 millions d’euros sur deux ans, devrait engendrer la création de 70 emplois directs. Cette nouvelle activité aura également des impacts très positifs en termes de trafics maritimes pour le Port, tant à l’import qu’à l’export, et de commandes de sous-traitance vers les entreprises de services industriels. Pour Patrice Vergriete, « cette nouvelle implantation fortement pourvoyeuse d’emplois démontre la capacité de notre territoire à attirer les leaders industriels et à répondre à leurs attentes tant en termes de main-d’œuvre qualifiée que de services à l’industrie. Depuis trois ans, c’est déjà la quatrième installation industrielle sur notre territoire, montrant ainsi le retour du dynamisme industriel du Dunkerquois. » Pour l’heure, la société DMT a soumis son projet à enquête publique jusqu’au 18 octobre. C’est à l’issue de cette phase d’enquête que le préfet du Nord prendra une décision d’autorisation ou de refus d’exploitation. Enquête publique jusqu’au 18 octobre L’enquête publique est ouverte à la mairie de Dunkerque jusqu’au 18 octobre. Un commissaire-enquêteur se tient à la disposition du public le mercredi 11 octobre de 9 h à 12 h et le mercredi 18 octobre, jour de la clôture de l’enquête, de 14 h à 17 h. Violette La Baigneuse fête ses 10 ans Du haut de ses 4 mètres, elle symbolise à elle seule l’esprit de la reine des plages du Nord… La géante de Malo-les-Bains, Violette la Baigneuse, s’apprête à célébrer son 10e anniversaire lors d’un grand week-end de fête les 21 et 22 octobre à la mairie de Malo-les-Bains. Au programme : des animations musicales, des contes, et des expositions de géants ! (programme complet ci-contre) Une vie géante ! Créée en 2007 à l’occasion du centenaire de la mairie, la jeune femme, imaginée par la maison de quartier du Méridien et soutenue depuis 2009 par l’association « Violette la Baigneuse et ses amis », a déjà une vie bien remplie ! Après son parrainage républicain en juillet 2007 où elle fit la connaissance de son parrain Pietje, fils du Reuze, et de sa marraine Joséphine La Peule, de Coudekerque-Branche, Violette se fiança puis épousa en 2008 Hilaire Patate, le jardinier de Rosendaël. Aujourd’hui installée dans la salle des fêtes de la mairie, elle participe chaque année au cortège de géants, le jour de la bande de la Violette. Ensavoir+ violettelabaigneuseetsesamis.eklablog.com Les festivités Samedi 21 10 h 30 : Exposition des 22 géants du Dunkerquois 12 h : Animation musicale avec l’orchestre « Madison Musette » suivi de « Christian et son accordéon et Emmanuelle : trompette » 15 h : Contes pour les petits géants par Diane Rischebé 16 h : Animation musicale avec « Bandas des Flandres » Dimanche 22 10 h 30 : Exposition des 22 géants du Dunkerquois 11 h : Animation musicale avec « Sax à 4 » 14 h 30 : Histoire écrite et contée par Annie Ardaens « Violette de Malo-les-Bains au temps des premiers bains de mer » 15 h : Animation musicale avec « Les Ch’ti Potes » Pendant les deux jours : baptêmes de portage de géants avec diplôme à la clé, expositions de tête de géants en papier mâché et animations.