Des jeux et du fun au Printemps de la place Jean-Bart
C’est parti ! Des animations gratuites et ouvertes à tous vous sont proposées chaque week-end de mai et juin à l’occasion du printemps de la place Jean-Bart. Imaginé par la municipalité pour redynamiser Dunkerque et permettre aux habitants de se réapproprier leur centre-ville, ce programme d’envergure promet de bien jolies surprises.
Samedi 5 mai : quelques semaines avant le début de l’été, la pétillante Sandrine Guébel vous convie à un Open de zumba. Au programme, une séance spéciale pour les seniors de 10 h 30 à 11 h 30 suivie de séances tous publics entre 15 h et 18 h !
Vendredi 18 (de 18 h à 21 h), samedi 19 et dimanche 20 (de 10 h à 19 h) et lundi 21 mai (de 10 h à 18 h) : la place Jean-Bart accueillera une quinzaine de structures gonflables. Châteaux forts, bateaux de pirates mais aussi rodéo mécanique, toboggans et parcours sportifs feront le bonheur des enfants dès 3 ans. Vendredi 18, les commerçants de la place proposeront quant à eux des mini-concerts tandis que les boutiques du centre-ville ouvriront leurs portes jusque 21 h !
Samedi 26 mai (de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h) : en partenariat avec la Croix-Rouge, l’Etablissement français du sang, l’ADASARD et la MAIF, la Ville vous invite à une journée de démonstrations et d’échanges autour de la prévention des risques du quotidien. 
Vendredi 1er (de 14 h à 23 h), samedi 2 (de 10 h à 21 h) et dimanche 3 juin (10 h à 18 h) : flippers, jeux vidéo, casques de réalité virtuelle, laser game, baby-foot… La 2e édition de la « Fun Games week » concentrera sous un chapiteau de 1 200 m² une multitude de jeux en accès libre.




Bus gratuits 7 jours sur 7 : le compte à rebours est lancé !
À compter du 1er septembre prochain, le bus sera gratuit 7 jours sur 7 sur l’ensemble de l’agglomération dunkerquoise. Tandis que les travaux d’aménagement se poursuivent aux quatre coins de la ville sous l’égide de la Communauté urbaine, la société DK’Bus se prépare pour être prête le jour J. 
La mobilité est une des priorités de la Communauté urbaine car elle concerne le quotidien des Dunkerquois. En instituant le bus gratuit le week-end dès 2015, puis bientôt 7 jours sur 7, Patrice Vergriete et les élus communautaires souhaitent doubler la fréquentation des bus, afin qu’elle passe de 5 % à 10 % de la totalité des déplacements sur le Dunkerquois d’ici 2020.
Lancé il y a à peine deux ans, le projet DK’Plus de mobilité repose sur trois axes : refondre complètement le réseau de bus afin de le rendre plus rapide, plus régulier, plus simple d’utilisation et encore plus respectueux de l’environnement ; redonner du pouvoir d’achat aux familles tout en permettant à celles qui n’ont pas de voiture d’accéder aux commerces et aux services ; et, enfin, réaménager la ville pour offrir des espaces publics de qualité tant aux habitants qu’aux visiteurs.
« Avec la réorganisation du réseau, résume Patrice Vergriete, nous allons répondre à deux questions fondamentales que se posent les usagers : à quelle heure mon bus va passer et quelle est la durée du parcours entre mon domicile et l’arrêt de bus ? De porte à porte, il y aura une énorme amélioration du confort et du service apporté au voyageur. »
Ce nouveau réseau à haut niveau de service sera en effet composé de 5 grandes lignes à dix minutes de fréquence du lundi au samedi de 7 h à 19 h. Ce qui revient, comme pour les usagers du métro à Paris ou à Lille, à ne pas regarder sa montre pour vérifier l’heure d’arrivée du bus. Elles irrigueront l’ensemble des zones agglomérées, là où la demande de déplacements est la plus forte. 
Un arrêt de bus près de chez vous 
Grâce à ces lignes, 80 % de la population de Dunkerque disposera d’une desserte fréquente à un arrêt de bus à moins de 300 mètres de son domicile contre 40 % avec l’ancien réseau ! De même, 8 habitants de l’agglomération sur 10 pourront rejoindre la gare en moins d’un quart d’heure. Ces grandes lignes fonctionneront, bien entendu, en dehors de cette tranche horaire de pointe - de 5 h à 7 h et de 19 h à 21 h 30 -, mais à une moindre cadence, avec des horaires affichés aux arrêts.
Ces 5 grandes lignes seront connectées à dix autres lignes dites classiques, soit directement sur leur itinéraire, soit via les trois pôles d’échange situés à la gare, au Fort des Dunes à Leffrinckoucke et au Puythouck à Grande-Synthe.
Avec la réorganisation du réseau de bus et les aménagements urbains en cours, le projet DK’Plus de mobilité permettra à la fois d’améliorer les temps de parcours et la fiabilité des horaires, mais aussi d’offrir un cadre de vie des plus agréables à tous les usagers de la ville, qu’ils soient piétons, cyclistes ou automobilistes. 
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Focus
30 nouveaux bus et 30 créations d’emploi 
Avec la mise en place de la gratuité 7 jours sur 7 le 1er septembre, la flotte de véhicules de DK’Bus s’est enrichie de 30 nouveaux bus au gaz qui seront mis en circulation dès ce mois de mai, uniquement le week-end. Deux nouvelles couleurs - fuchsia et orange - apparaîtront aux côtés des bleue, jaune et verte déjà en service. Qui dit nouveaux bus, dit recrutement de chauffeurs. 30 conducteurs ont ainsi été embauchés par la compagnie dans la plus grande transparence, en partenariat avec Pôle Emploi, les Etats généraux de l’emploi local (EGEL), le Conseil régional et l’association Entreprendre ensemble.

Témoignage
Lydie Verstraet, 
nouvelle conductrice de bus urbain
« Après avoir occupé un emploi d’aide-ménagère, j’ai souhaité entamer une reconversion professionnelle avec le soutien de Pôle Emploi. Avec le recul, je me souviens avoir toujours voulu conduire un bus. Je me suis donc orientée sur cette voie. Pôle Emploi m’a financé le permis que j’ai obtenu du premier coup, puis j’ai été embauchée par une compagnie d’autocars. J’y ai appris le métier pendant huit mois. Ayant été informée de la réorganisation du réseau de bus urbain, j’ai décidé de postuler à DK’Bus qui m’a recrutée en juillet dernier. Ce métier me plaît énormément, qu’il s’agisse de la conduite ou du relationnel avec nos clients. Je ne regrette pas mon choix ! »



La rue de la République en travaux jusqu’à l’été à Saint-Pol-sur-Mer
La rue de la République à Saint-Pol-sur-Mer accueillera une des cinq lignes rapides du futur réseau DK’Bus. Elle bénéficie, jusqu’à la mi-août, d’une rénovation complète de la part de la Communauté urbaine dans le cadre du programme DK’Plus de mobilité. Les trottoirs et la chaussée sont ainsi élargis afin d’améliorer le confort des piétons et de permettre une circulation automobile sécurisée dans les deux sens, tandis que le stationnement en voirie est reporté sur des parkings spécialement aménagés. Après une première tranche de travaux achevée fin mars entre la rue Etienne-Dolet et l’avenue Maurice-Berteaux, le chantier se poursuit jusqu’à la mi-mai vers l’intersection de la rue Roger-Salengro. Puis ce sera au tour de la portion comprise entre les rues Salengro et Parmentier (de mi-mai à fin juin), avant l’aménagement de la place Saint-Benoît programmé de juillet à mi-août. 
Un café chantier vous informera des détails du chantier le mercredi 20 juin de 14 h à 16 h place Saint-Benoît. Un peu plus loin vers Fort-Mardyck, de l’autre côté de la passerelle, un autre chantier de réaménagement se poursuit jusqu’à la fin mai à l’intersection de la route de Fort-Mardyck et de la D625.
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Coup d’envoi du chantier de construction au stade Tribut
Les travaux de construction de la tribune sud du stade Tribut vont débuter fin mai sur l’ancien emplacement de la tribune populaire, côté avenue de Rosendaël. Ce qui n’empêchera pas les joueurs de l’USLD d’évoluer sur leur terrain fétiche durant toute la durée du chantier. 
En septembre 2019, la nouvelle tribune proposera 2 252 places assises, une cinquantaine de places pour les personnes à mobilité réduite et 138 places réservées aux partenaires du club. Erigée en béton, elle sera dotée d’une charpente métallique. Elle sera protégée en façade Sud par une sorte de « peau » transparente en polycarbonate, parsemée de lames de bois, qui se prolongera telle une enveloppe elliptique jusqu’à la tribune nord.
Elle abritera, en bord de pelouse, les vestiaires ultra-modernes de l’équipe première et ceux de l’adversaire du jour, les vestiaires des arbitres, un espace médical et quinze loges aménagées sous le toit avec un accès à une terrasse abritée. On y trouvera également de larges espaces conviviaux pour les supporters, des buvettes, des sanitaires à l’arrière ainsi qu’un salon VIP de 300 m2, une salle de presse et des locaux techniques.
Les jours de matchs, les bus des joueurs visiteurs et les cars régie de télévision stationneront devant la salle Deweerdt comme cela se passe déjà aujourd’hui pour les rencontres de handball.
Concernant l’éclairage de la pelouse, il a été décidé d’installer les quatre nouveaux mâts de 40 mètres de haut dès l’entame des travaux. Ils n’entreront toutefois en service qu’à l’automne prochain lorsqu’il sera procédé à la démolition des deux pylônes en béton actuellement positionnés de part et d’autre de l’ancienne tribune debout. Plus proches du terrain et moins hauts que leurs prédécesseurs, ils auront une qualité lumineuse digne de la Ligue 1.
Une entrée unique avenue du Stade 
Dans le même temps, il sera procédé à l’aménagement d’un parvis paysagé de 3 000 m2 en lieu et place de l’ancienne butte, côté canal, avenue du Stade, ainsi qu’à la construction de la billetterie et d’un bâtiment administratif. On accédera au stade par ce parvis ponctué d’îlots plantés qui sera relié aux deux tribunes par des coursives hautes de 4 mètres, elles-mêmes accessibles par deux escaliers monumentaux élevés de part et d’autre de l’entrée. Ces coursives, aménagées sur deux niveaux, ont été conçues comme une sorte de déambulatoire offrant une vue sur le quartier. 
Deux grues à tour seront installées sur le trottoir de l’avenue de Rosendaël et des grues mobiles seront opérationnelles sur le parvis durant toute la durée du chantier. On continuera donc de circuler aux abords du stade.
Quant à la déconstruction de l’actuelle tribune honneur, elle devrait débuter à l’automne 2019, une fois la construction de la tribune sud achevée. Ainsi, les supporters de l’USLD pourront continuer d’encourager leur équipe en intégrant une structure flambant neuve, côté avenue de Rosendaël. Cette seconde phase de travaux se poursuivra par la construction d’une seconde tribune comptant 2 380 places assises et une cinquantaine de places pour les personnes à mobilité réduite.
Début 2021, le stade Marcel-Tribut, entièrement reconfiguré et homologué Ligue 2, offrira près de 5 000 places assises protégées des intempéries.

Rencontre
Olivier Sockeel, architecte du futur stade Tribut
Un architecte dunkerquois pour le stade de Dunkerque…
La Communauté urbaine a choisi notre projet non pas parce que je suis Dunkerquois, mais parce qu’il correspondait à son souhait de voir érigé un stade ouvert sur la ville et qui puisse accompagner de manière raisonnable l’ambition du club de football. Ce projet est le fruit d’un travail partagé entre notre équipe d’architectes dunkerquois et nos amis lillois du cabinet OLGGA.
Est-ce particulièrement difficile d’imaginer un stade ?
Notre formation d’architecte nous a préparés à relever tous les défis, de la construction d’une maison individuelle à celle d’un musée en passant par un embarcadère à bateaux, un centre équestre ou un stade. Reste que c’est mon premier stade et je n’ai pas l’intention de décevoir les Dunkerquois. Les footballeurs le disent eux-mêmes : la victoire est impérative quand on joue à domicile.
Aviez-vous fréquenté le stade Tribut avant de travailler à sa reconstruction ?
Je n’ai jamais joué au football, mais il m’est arrivé d’aller y voir des matchs avec un sentiment mitigé. Celui de participer à une fête dans un cadre plus que désuet, en rupture avec notre époque.

Focus
Un stade d’athlétisme à Malo-les-Bains
La reconstruction du stade Tribut « à l’anglaise », c'est-à-dire avec des spectateurs proches de la pelouse, a nécessité la suppression de la piste d’athlétisme, par ailleurs en mauvais état. Mais les athlètes dunkerquois n’ont pas perdu au change, tant s’en faut, puisqu’ils disposeront, dès la Toussaint, d’un équipement flambant neuf sur le site de la Licorne à Malo-les-Bains. Il proposera une piste de course ainsi que des aires de saut et de lancer aux normes nationales. Le chantier d’aménagement de ce stade, approuvé par la Fédération française d’athlétisme, devrait débuter en juin aux abords du boulevard de l’Europe.

Une pelouse hybride opérationnelle dès cet été
Outre les travaux de construction d’une tribune, le stade Marcel-Tribut bénéficiera d’une nouvelle pelouse hybride semblable à celle du stade d’Arsenal à Londres, du Parc des Princes à Paris ou de la Beaujoire à Nantes. Les travaux débuteront le 23 mai pour s’achever fin juillet à la veille de la saison 2018-2019. Ce nouvel équipement ne craindra pas la pluie du fait de son drainage instantané et offrira des conditions de jeu exceptionnelles aux footballeurs de l’USLD. Pour plus de détails, retrouvez l’interview de Jean-Michel Hurlus, directeur technique de la société Terenvi Espaces Verts qui concrétisera ce projet, sur www.ville-dunkerque.fr, rubrique « Dunkerque, c’est vous ! ».



Ca bouge en centre-ville !
Projet immobilier et commercial et création d’un espace ludique au Parc Marine, aménagements des espaces urbains dans le cadre du projet DK’Plus de mobilité, nouvelle étape pour le plan de rénovation des façades, ouverture de nouveaux commerces… le centre-ville se transforme pour renforcer son attractivité. 

Bientôt des fouilles archéologiques au Parc de la Marine !
La Ville a accordé le permis de construire au promoteur Vinci Immobilier pour le programme résidentiel et commercial qui sera développé sur le terrain des anciennes écoles maternelle et élémentaire du Parc de la Marine.
 La prochaine étape débutera en juin prochain avec le lancement des fouilles archéologiques prescrites par l’Etat. Elles se dérouleront jusqu’à fin septembre sous l’égide de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) qui rendra ses conclusions autour du printemps 2019. 
Il sera alors temps de lancer la construction d’un ensemble commercial d’une surface de près de 4 000 m2 qui comportera vingt-deux boutiques, deux moyennes surfaces ainsi que trois restaurants, auquel s’ajouteront 105 logements (dont 77 en accession à la propriété) répartis en trois bâtiments. Le site accueillera aussi 489 m2 de bureaux de type co-working et une crèche privée. Ce programme sera complété par une requalification intégrale du Parc de la Marine pour améliorer le lien avec les Centre et Pôle Marine, mais aussi pour faire du parc un lieu d’agrément doté de structures ludiques attractives pour les usagers du centre-ville,

Une aire de jeux monumentale au cœur du jardin
Outre la construction de commerces et de logements à ses abords, le parc de la Marine sera repensé pour en faire un lieu de vie pour tous les usagers du centre-ville. La Ville a lancé un concours à cet effet auprès de quatre équipes composées de paysagistes, architectes, designers et éclairagistes, dont le lauréat sera connu fin mai. 
L’objectif est d’ouvrir le Parc de la Marine à 360° en retravaillant les cheminements, en installant un nouveau mobilier urbain qui favorise la pause, en étant attentif au patrimoine végétal et en réhabilitant le kiosque à musique pour en faire un nouvel espace de convivialité et de festivités. Il s’agit également de créer une aire de jeux pour les 7-12 ans qui serait conçue comme un élément ludique au design innovant et spectaculaire bien identifié dans l’espace. Elle serait accompagnée d’une autre aire de jeux, de moindre taille, réservée celle-ci aux petits enfants. Ce premier chantier qui concernera le cœur du jardin historique devrait débuter au printemps 2019 pour une ouverture l’été suivant.

De nouveaux commerces et services
Alors que le taux de vacance commerciale est déjà très faible à Dunkerque, Le centre-ville s’est enrichi de nouveaux commerces et services ces dernières semaines et ce n’est pas fini ! 
La boutique « I Code » vous accueille ainsi rue du Président-Wilson, tandis qu’« Esprit Déco », a ouvert ses portes place Emile-Bollaert. Une nouvelle boutique de prêt-à-porter masculin – « Mauvais Genre » -  est également annoncée d’ici la fin mai, près de la voûte, rue Poincaré.
Ca bouge également du côté des métiers de bouche : ouverture de la « Trattoria chez Gino » rue du Sud, du restaurant « Le Baobab » rue Albert 1er, réouverture du « P’tit Dunkerque » place Charles-Valentin et installation d’un boucher-traiteur, rue Poincaré.
D’autres ouvertures sont prévues ces prochaines semaines : un salon de thé et un spécialiste de la crêpe place Jean-Bart, une boutique de produits naturels rue Poincaré, une épicerie en vrac dans une partie des anciens locaux de « Toto » rue des Chaudronniers…
Au total, ce sont une vingtaine d’enseignes qui se sont installées en centre-ville durant le premier semestre 2018.

Sept auvents en cours de montage
Sept auvents habilleront les nouveaux trottoirs du centre-ville d’ici la fin août dans le cadre du projet DK’Plus de mobilité. Ils disposeront d’assises et permettront de s’abriter en cas d’intempéries. Lorsqu’ils serviront d’abribus, ils informeront également les usagers du réseau DK’Bus grâce aux panneaux d’information mis à leur disposition. Trois d’entre eux sont déjà en cours d’installation boulevard Alexandre-III (entre les places Jeanne-d’Arc et République), place Jean-Bart (devant la Banque de France) et rue Clemenceau, pour une première mise en service programmée fin juin.
Les quatre suivants seront installés à compter du 14 mai (place Jean-Bart), 22 mai (boulevard Alexandre-III, entre la rue Wilson et le secteur Guynemer), 28 mai (place du Lion d’Or) et 4 juin (boulevard Alexandre-III, entre la place Jean-Bart et la rue Wilson).
Pour des raisons de sécurité, certaines phases de travaux nécessitent la mise en place d’une circulation alternée aux abords de ces chantiers.
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Tél. 03 28 25 92 70 (Allo voirie)
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Le Plan de rénovation des façades se poursuit rue Albert 1er
Lancé en 2015, le programme de ravalement obligatoire des façades (PRO) vient de se terminer place Jean-Bart, où 26 façades d’immeubles ont bénéficié d’une cure de jouvence avec le soutien financier de la Ville. Il en ira de même cet été place de la République avec un total de 14 immeubles rénovés. Rue Albert 1er en revanche, ça ne fait que commencer avec un premier échafaudage monté en avril dernier. 26 immeubles sont concernés sur cet axe qui relie le centre-ville à la Basse Ville avec une fin de travaux d’ores et déjà prévue fin 2019.
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Mission qualité urbaine et patrimoniale. Tél. 03 28 26 28 31.

Nocturne en centre-ville
Des commerçants du centre-ville organisent une nocturne le vendredi 18 mai de 18 h à 21 h dans une ambiance musicale et festive, tandis que le village des structures gonflables accueillera les enfants pendant la séance shopping des parents.


Le conteneur, cette « boîte » qui a révolutionné le commerce mondial !
Une caisse en métal qui navigue, roule et prend le train au point de bouleverser le commerce international. Le conteneur méritait bien que son histoire soit racontée au Musée portuaire dans une exposition passionnante programmée jusqu’au 6 janvier 2019.
Lorsqu’il a fait son apparition dans les ports à la toute fin des années 1960, on n’imaginait pas encore à quel point le conteneur allait révolutionner le transport de marchandises à travers le monde. Un demi-siècle plus tard, ce sont près de 700 millions d’EVP (ou équivalent vingt pieds, soit 38 m3 de chargement) qui circulent chaque année sur les mers du globe. C’est simple, sans le conteneur, l’idée même de produire en grande quantité des biens les plus divers à des milliers de kilomètres de leurs lieux de consommation n’existerait pas, tant le transport maritime resterait incertain, long et cher.
Un symbole de la mondialisation 
C’est ainsi qu’en 2014, le fret maritime a passé le cap des 10 milliards de tonnes transportées par an et il est prévu que ce chiffre soit doublé d’ici à 2050 ! C’est peu dire que le conteneur a accompagné le phénomène de la mondialisation et il n’est dès lors pas étonnant de voir la Chine sur la plus haute marche du podium des grands ports de conteneurs.
Très vite, les dockers dunkerquois se sont adaptés à ce nouveau mode de manutention. Au fil des décennies, les progrès ont été tels que des portiques de plus en plus perfectionnés permettent de décharger les grands navires dans des temps records. L’une des problématiques est de réussir à imbriquer de telles quantités de conteneurs car, si en 1970, la capacité de chargement d’un porte-conteneur était de 3 000 « boîtes » en moyenne, elle a grimpé aujourd’hui à 20 000 sur des bateaux de 400 mètres de long ! Vus d’en haut, sur les photos ou dans les films proposés au public, ils ont l’air de pointillés de toutes les couleurs. On imagine alors combien est délicate la mission des dockers qui doivent effectuer le chargement, une opération que chaque visiteur peut appréhender à travers un jeu de construction.
Une exposition pour toute la famille 
Tout est fait pour que l’exposition soit au goût de tous : une décoration épurée faite de boîtes de transport en bois, des images en apparence surréalistes dévoilant ce qu’on ignore souvent de l’activité de notre port, un vrai conteneur aménagé en cabane de jeux et des animations ludiques variées. Ainsi, par exemple, on peut plonger le bras à l’aveugle dans de fausses boîtes pour deviner ce que renferme ce chargement factice et comme un clin d’œil à l’exposition de 2016, on y trouve entre autres d’« extraordinaires bananes », traversant les mers. C’est aussi la démonstration de l’évolution de ces « boîtes » qui sont équipées de moyens de réfrigération pour éviter le mûrissage prématuré des fruits durant le transport.
On nous dit tout également sur l’histoire du conteneur, sur ses réutilisations insolites en logements, bureaux ou stades, mais aussi de son parcours commercial. Une fois à quai, suite à un long périple maritime, le conteneur n’en a pas encore terminé puisqu’il doit subir contrôles douaniers et inspections sanitaires avant de rejoindre son destinataire par camion ou chemin de fer. 
•	Exposition « The Box, le monde en boîtes » jusqu’au 6 janvier 2019, tous les jours (sauf mardi) de 10 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 18 h au Musée portuaire, quai de la Citadelle. 
Tarif : 4 € (adultes), 3 € (enfants), 10 € (familles). www.museeportuaire.com Tél. 03 28 63 33 39.

À l’agenda du Musée portuaire
Jusqu’au 13 mai, « Recouvrement », exposition d’œuvres des étudiants de l’Ecole supérieure d’Art, inspirées de leurs rencontres avec le milieu portuaire.
Dimanche 6 mai de 16 h à 17 h, promenade musicale avec la percussionniste Nadia Bendjaballah. Gratuit.
Du 12 au 27 mai, exposition et parcours interactif proposés par des élèves du lycée Jean-Bart sur la traite, l’esclavage et leurs héritages.
Dimanche 13 mai à 15 h 30, « Dunkerque, port négrier ? », visite guidée thématique suivie de la projection du court métrage « An Excavation of Us » de Shirley Bruno.
Du 2 juin au 2 septembre, exposition consacrée au Yacht-club de la mer du Nord qui célèbre son 60e anniversaire.

Entretien avec Nathalie Manceau
« Vivre une belle histoire en chansons… »
Chanteuse de jazz et chef de chœur, Nathalie Manceau animera le ciné-chanté le 10 juin à 17 h au Studio 43. Pour préparer cet événement, elle vous attend à la première répétition programmée le mercredi 9 mai de 18 h 30 à 20 h.
Quel est le principe du ciné-chanté ?
Il s’agit d’interpréter les chansons phares qui ponctuent un film musical. Cette année, c’est « Moulin Rouge » de Baz Luhrmann qui a été plébiscité par le public. J’anime six répétitions du 9 mai au 6 juin au Studio 43 plus la générale le dimanche 10 juin à 15 h qui est gratuite et ouverte à tous. Avec les participants, on se réunit pour découvrir les morceaux et pour s’entraîner. C’est un défi à relever ! Sept séances pour tout mettre au point.
Faut-il être un chanteur aguerri ?
Non ! Les participants aiment avant tout chanter, quel que soit leur niveau. On est là pour partager un bon moment et vivre une belle histoire en chansons. L’ambiance est d’ailleurs très conviviale. Des gens d’horizons divers se rencontrent et font connaissance. On croise des familles, des groupes d’amis, des personnes seules, des jeunes et des moins jeunes, des chanteurs de salle de bain ou d’autres qui, en parallèle, pratiquent le chant assidûment. La « famille » des ciné-chanteurs n’a cessé de s’agrandir au fil des années…
Comment se déroulera l’édition 2018 ?
Comme d’habitude, le jour J, on se donnera rendez-vous pour une ultime répétition avant la représentation. Pour faire notre entrée en scène, on se relookera à l’image des personnages du film, le tout avec une dose d’humour et d’autodérision. Ainsi, le temps d’une projection, on se glissera dans la peau de Satine et Christian, les deux héros de « Moulin Rouge » interprétés par Nicole Kidman et Ewan Mc Gregor.  

•	Répétitions les 9, 23, 30 mai, 1er et 6 juin de 18 h 30 à 20 h ainsi que le 19 mai de 15 h à 16 h 30. Tarif des ateliers : 7 €. Tél. 03 28 66 47 89. www.studio43.fr.
Bio’ Express
1990 : premiers pas dans la chanson
2011 : premier Ciné-chanté
2014 : duo jazz « Duel Duets » avec François Tourneur
2017 : création des duos « Sing-Song-Swing » et « JoNat »



En direct des 4 Jours de Dunkerque 
Plus de 130 engagés s’élanceront de la place Jean-Bart le mardi 8 mai dès 12 h 30 à l’occasion de la 64e édition cycliste des 4 Jours de Dunkerque - Grand Prix des Hauts-de-France. Après avoir quitté Dunkerque pour un parcours de plus d’un millier de kilomètres au cœur de notre grande région, les cyclistes professionnels retrouveront la cité de Jean Bart le dimanche 13 mai pour un parcours inédit en centre-ville. L’arrivée sera jugée boulevard Sainte-Barbe, après 11 tours d’un circuit qui empruntera les principales artères de Dunkerque avec un passage traditionnel sur la digue de mer. 
Corsaire TV en direct
La web télé de l’agglomération Corsaire TV vous fera suivre la course au jour le jour avec deux émissions au programme : la première, #4JDD, présentée par Fabrice Beder et Nico Mattan et diffusée chaque jour de 12 h 30 à 13 h, fera le point sur la course avec des résumés et des informations sur les étapes mais aussi des archives et des infos décalées. Place ensuite au direct avec les 90 dernières minutes des étapes, commentées par le même duo, tous les jours à 15 h 15 (sauf samedi 15 h 30). 
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www.4joursdedunkerque.org
www.corsairetv.fr




2e édition de la fête de la place Louis-XIV
La ville de Dunkerque, l’ADUGES et leurs partenaires organisent la 2e édition de « La place Louis-XIV invite ses voisins » le vendredi 25 mai à partir de 16 h 30 : un rendez-vous festif, musical et citoyen ! De nombreuses animations gratuites sont proposées : château gonflable, balades à dos d’ânes, visite de Mickey, jeux flamands, promenades en calèche, goûter. Quant à l’ambiance musicale, elle sera garantie avec une série de concerts : l’ensemble cuivres et percussions des élèves de Jules-Ferry, suivi de l’orchestre junior du conservatoire, de 17 h 30 à 18 h 15 ; un concert de chansons folk avec Riverside, de 18 h 30 à 20 h ; un bal folk avec les élèves du conservatoire, de 20 h à 20 h 30 ; enfin une soirée variété avec DJ, de 20 h 30 à 22 h. Côté restauration, un barbecue est organisé (1 euro par personne). Les inscriptions sont à enregistrer jusqu’au lundi 21 mai en maisons de quartier :
•Banc Vert, tél. 03 28 59 69 12
•Pont Loby, tél. 03 28 59 69 10.



Un nouveau supplément à destination des seniors
C’est un nouveau venu dans la presse : « Les enfants de Jean Bart », supplément au journal municipal « Dunkerque & Vous », est exclusivement dédié aux seniors dunkerquois. Edité trois fois par an (en mai, septembre et janvier), ce magazine de huit pages vise à faire connaître l’offre de services mise en place par la Ville et ses partenaires pour faciliter le quotidien de nos aînés. Agenda des manifestations culturelles dédiées, informations pratiques, actualités du Centre communal d’action sociale et des maisons d’animations seniors, jeux, informations bien-être et santé... Tous les sujets sont évoqués dans un format de lecture adapté aux seniors. L’occasion également de découvrir les dernières initiatives lancées par la municipalité pour mieux vivre à Dunkerque.
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