Heureuses retrouvailles avec la Bonne Aventure ! Après une année blanche, la Bonne Aventure, le festival d’agglomération 100 % gratuit, reprend ses quartiers les samedi 11 et dimanche 12 septembre sur le front de mer avec une affiche pleine d’ondes positives : Vianney, IAM, Fatoumata Diawara, Chilla, Myd, Yolande Bashing, Lala &ce ou encore Weekend Affair viendront profiter de l’été indien sur la plus belle plage du Nord ! Une fois n’est pas coutume, c’est en clôture de la saison estivale que la quatrième édition de la Bonne Aventure vous donne rendez-vous les 11 et 12 septembre sur la place du Casino et sur la digue de mer ! Porté par la Communauté urbaine et l’association les Nuits secrètes, le festival promet cette année de belles retrouvailles avec son public. Tour d’horizon. La programmation Un Master class de rap avec les Marseillais d’IAM, la sensible Chilla ou Lala &ce, de la pop aigre-douce avec Yolande Bashing et Weekend Affair, de la musique du monde d’après avec Fatoumata Diawara, de l’électro inspirée avec Myd et de la chanson sucrée avec Vianney… Vous l’aurez compris, la Bonne Aventure cultive l’éclectisme et la diversité. Une recette gagnante qui permet de toucher tous les Dunkerquois au coeur ! Programmation complète sur www.labonneaventurefestival.com Des arts à la plage Deux jours durant, la digue de mer prend des allures de fête foraine avec le collectif Dropstuff qui vous invite à une séance d’auto-tamponneuses d’un genre nouveau avant de déguster des barbes à papa dans son food-truck high-tech ! Déambulations sonores loufoques et déjantées avec Alerte à Malo beach ou Vermine et installations plastiques et poétiques sur la plage avec le collectif Dynamorphe sont également au programme. Une oasis locale en front de mer Quatre associations dunkerquoises vous accueillent au sein d’une oasis inattendue pour des rencontres insolites, artistiques, musicales ! Électro Libre retrouve ainsi la plage de Malo pour des sets écolo puisqu’une partie de l’énergie nécessaire à la diffusion du son sera alimentée grâce à des panneaux solaires. Derrière les platines, des artistes de la scène locale comme Darkem, Stéveun, Fonss, Ridoo Diskoo, Easy Is, Jie Heym et Meg Beg. L’association PAMELA propose quant à elle des expériences inédites combinant chanson, percussions et suspensions… Au programme : le chanteur Mathieu Boogaerts, le percussionniste Compost Collaps, qui joue d’un gros kick en plastique, de 5 trompes télescopiques, et d’objets métalliques bruyants, ou encore Fanny Austry, qui semble danser avec le vent… À travers leur installation « À contrevent », huit artistes de Fructôse invitent les festivaliers à redécouvrir les objets emblématiques de la plage de Malo, revisités et transformés au gré de leurs pratiques artistiques. Enfin, le CPIE Flandre Maritime sensibilisera à la beauté et à la fragilité des milieux maritimes par le biais de visites découvertes. Comme en 2019, l’association met en place un système de collecte des mégots pour encourager la vigilance des festivaliers ! L’oasis est ouverte samedi 11 de 14 h à 21 h et dimanche 12 septembre de 14 h à 20 h. Pass sanitaire obligatoire. À pied, à vélo ou en bus ! Si le festival est gratuit, le bus l’est aussi ! Durant toute la durée de la Bonne Aventure, DK Bus met en place des navettes nocturnes supplémentaires à destination de toutes les communes de l’agglomération et des parking relais situés au Stade Tribut, au Môle 1 et au parking Gare. Les adeptes du vélo pourront garer leur bicyclette dans un parking sécurisé installé sur le front de mer par l’Association Droit au vélo. Pour tout savoir sur la Bonne Aventure www.labonneaventurefestival.com La Bonne Aventure Le festival pratique Pandémie oblige, le pass sanitaire est obligatoire pour accéder au festival place du Casino ainsi que dans l’Oasis installée en front de mer. Deux points de contrôle vont être matérialisés pour vous permettre d’accéder à la scène : ils sont situés place du Casino (à proximité du restaurant L’Escadre) et avenue About. Pour le bon déroulement du festival, merci de préparer votre pass à l’avance et de faire preuve de patience dans la file d’attente. Enfin, n’hésitez pas à consulter régulièrement le site Internet du festival pour vous tenir informé des dernières mesures sanitaires mises en place. Accompagner tous les élèves vers la réussite Ce 2 septembre, plus de 4 200 petits Dunkerquois issus des écoles publiques ont retrouvé le chemin de la classe. Restauration scolaire, classes bonus, travaux… Tour d’horizon des derniers projets mis en place par la Ville pour les accompagner dans leur scolarité. Pensé avant la crise sanitaire, le dispositif des Classes bonus mis en place en 2020 à titre expérimental dans les écoles André-Nita, Paul-Meurisse, Louise-de-Bettignies et Lucien-Maillart est reconduit cette année. Le principe : offrir aux élèves des classes élémentaires la possibilité de profiter d’un accompagnement aux devoirs gratuit au sein même de leur école. Animées deux fois par semaine pendant une heure par des enseignants volontaires, les Classes bonus ont permis l’an passé à 207 élèves de bénéficier d’un soutien dans leurs apprentissages. Pour la rentrée 2021, quatre nouvelles écoles intègrent donc ce dispositif : il s’agit des écoles de la Porte d’Eau, Kléber, Jules- Ferry et Trystram. Restauration scolaire : deux menus au choix Conformément à la loi Égalim, la Ville propose déjà depuis 2019 un menu végétarien par s e m a i ne aux él è v e s fréquentant les 20 restaurants scolaires de Dunkerque. Parce que l’éducation passe aussi par l’assiette, la municipalité a décidé d’aller plus loin cette année en proposant désormais chaque jour un menu alternatif sans viande, contenant les apports nécessaires à l’équilibre nutritionnel des enfants. Très concrètement, cela signifie que les familles pourront désormais choisir entre deux menus chaque jour pour leur enfant. Cette nouveauté entraîne une modification des délais de réservation des repas : les familles dont les enfants déjeunent au restaurant scolaire les lundi ou mardi ont désormais jusqu’au vendredi midi précédant pour réserver le repas de leur enfant ; les familles dont les enfants profitent du restaurant scolaire les mercredi, jeudi ou vendredi ont jusqu’au lundi midi précédant pour réserver la prestation sur le kiosque famille. Parallèlement à cela, la Ville poursuit son engagement dans l’agriculture biologique en offrant chaque jour du pain, des laitages et des compotes bénéficiant de ce label et en proposant tro is repas entièrement bio entre chaque période de vacances. Enfin, rappelons que les repas servis dans les restaurants scolaires sont constitués pour moitié de produits issus de la production locale du Dunkerquois et des pays de Flandre. Plus de confort pour les élèves ! Comme tous les étés, la Ville profite des vacances scolaires pour effectuer des travaux dans les écoles. Ainsi, l’école maternelle Victor Hugo et la salle de restauration scolaire de l’école de la Mer ont bénéficié du remplacement de leur système de chauffage. Cure de jouvence également pour le groupe scolaire du Torpilleur qui profite désormais d’une meilleure isolation, de nouvelles peintures et revêtements de sol en maternelle et de nouveaux sanitaires en élémentaire, pour un coût total de 250 000 euros. Enfin, les écoles de la Porte d’eau et maternelle Charles- Perrault profitent actuellement d’un grand chantier de rénovation qui permettra aux élèves d’être accueillis dans des conditions optimales (voir pages suivantes). Impliquer davantage les parents dans la vie de l’école Afin d’impliquer davantage encore les parents dans la réussite éducative des enfants et faciliter le dialogue et la concertation entre l’Éducation nationale, les services municipaux et les familles, la Ville a créé une page web et un guide destinés aux représentants des parents d’élèves. Le principe ? Expliquer, former et informer les parents sur leur rôle au sein de l’institution et les encourager à se présenter aux élections de représentants de parents d’élèves qui ont lieu chaque année en octobre dans l’ensemble des écoles françaises. La Ville expérimente des capteurs de la qualité de l’air dans trois classes Mieux aérer pour mieux apprendre ! Parce que la réussite des élèves passe aussi par l’amélioration de leur bien-être à l’école, la Ville expérimente dès la rentrée la mise en place de capteurs permettant de mesurer la teneur en dioxyde de carbone (CO2). Installés dans une classe de l’école élémentaire de la Mer à Malo-les-Bains, une classe de l’école maternelle Charles-Péguy à Rosendaël ainsi que dans le restaurant scolaire de la Meunerie à Petite-Synthe, ces appareils, pas plus gros qu’un détecteur de fumée, permettent d'alerter le personnel municipal sur la nécessité d'aérer une pièce. Un outil jugé nécessaire dans le contexte actuel de la Covid-19 pour limiter la circulation du virus mais pas seulement : une mauvaise qualité de l'air peut entraîner des maux de tête et nuire à la concentration des élèves... Après une phase expérimentale, ce dispositif inédit pourrait être généralisé rapidement. À Perrault et Porte d’eau, la Ville innove pour le bien-être de nos enfants Cet été, la municipalité a entamé dans les écoles Charles-Perrault et Porte d’eau deux chantiers d’ampleur. À Malo, c’est une école complètement repensée qui se dessine, afin de répondre aux nouveaux enjeux démographiques du quartier. À Dunkerque- Centre, il s’agit d’aménager une cour dite résiliente : plus vertueuse en matière d’environnement ; plus ouverte aussi en termes d’éducation, non genrée et envisagée comme un lieu d’apprentissage à part entière. Point d’étape de ces deux chantiers d’importance. Qui dit résilience, dit patience ! Au groupe scolaire de la Porte d’eau, le chantier de réaménagement de la cour de récréation est en cours. Entrées en action dès le premier jour des vacances scolaires, les pelleteuses n’ont pas chômé. Et moins de deux mois plus tard, le béton a reculé, offrant plus d‘espace à la nature en ville ! Pour autant, les travaux ne sont pas encore achevés. La faute à une pénurie de bois, conséquence de la crise sanitaire et des différents confinements observés à l’échelle planétaire. Les matières organiques et le bois constituent la principale valeur ajoutée du projet porté par la Ville ! Le bois attendu doit notamment servir au bardage des deux préaux-entrées donnant accès à la cour. Il sera encore utilisé pour la réalisation des cabanes de lecture et de jeu, comme pour les nichoirs, refuges pour hérissons et autres hôtels à insectes. En attendant que le marché du bois ne sorte de l’ornière, les entreprises missionnées ont avancé sur d’autres lots. La structure du petit amphithéâtre a été érigée. Les revêtements de sol ont été coulés fin août. Les différents mâts, supports de toiles tendues et de modules de jeu, ont été posés. Le traçage des marelles, escargots et autres jeux dessinés a été effectué. Enfin, certaines parties de la cour ont été engazonnées, tandis que du paillage a été réparti sur les espaces non encore végétalisés. Il restera à matérialiser « Play For Today » l’oeuvre de l’artiste Céline Condorelli, et surtout à réaliser les plantations qui accompagnent le projet. Résilience oblige, la Ville a en effet souhaité respecter le rythme des saisons : les végétaux seront ainsi mis en terre à l’approche de la Toussaint, sans apport artificiel d’eau notamment. Mise en sécurité pour la rentrée, la cour de la Porte d’eau poursuit donc sa mue. La suite du chantier sera programmée le mercredi. A l’exception des poses de nichoirs et hôtels à insectes qui seront préparées et travaillées avec l’équipe pédagogique et les élèves durant le temps scolaire. Une manière aussi de prendre une part active à la réalisation de cette cour innovante ! Les petits ruisseaux… À première vue, difficile de faire un lien entre une cour d’école et la lutte contre le réchauffement climatique. Et pourtant… Alors que le rapport 2021 du GIEC alerte une nouvelle fois sur les conséquences aujourd’hui déjà trop prégnantes du dérèglement climatique, la Ville de Dunkerque tente à son niveau d’amorcer des réponses. Refroidir le coeur des villes fait partie des enjeux. Or, avec une surface de bitume réduite, une végétalisation renforcée ou encore la récupération d’eaux pluviales, la cour de la Porte d’eau trace la voie à suivre… À l’image du projet d’école du futur porté par la Ville dans le quartier du Banc Vert à Petite-Synthe, les futurs équipements publics dunkerquois intégreront demain cette urgence climatique. Non seulement dans le choix des matériaux et dans l’organisation des chantiers, mais également dans le partage des usages et la redéfinition du principe d’espace public. Plus que jamais, les petits ruisseaux font les grandes rivières ! Et c’est avec ce type de projet novateur que la Ville de Dunkerque s’engage dès aujourd’hui pour changer les mentalités et donc l’avenir… L'école Charles Perrault transformée C'est une nouvelle page qui s’écrit à Malo-les- Bains ! Annoncé en 2020, le regroupement des écoles Charles-Perrault et Florian est effectif depuis la rentrée. Les élèves des deux établissements sont désormais réunis au sein de l’école maternelle Charles-Perrault, ce qui a permis le maintien d'une classe d'élèves de maternelle dans le quartier. Afin de permettre aux enfants d'être accueillis dans les meilleures conditions, d’importants aménagements ont été réalisés cet été, aussi bien dans les espaces intérieurs qu’à l’extérieur de l’établissement. Comptant désormais cinq classes entièrement refaites à neuf afin d’accueillir les 120 petits élèves, l’école maternelle Charles-Perrault dispose aujourd’hui d’une toute nouvelle toiture permettant de substantielles économies d'énergie. Des panneaux photovoltaïques ont également été installés, assurant les besoins de l'école en matière d'énergie : un principe d'autoconsommation vertueux ! Autres travaux d’envergure, le changement complet des fenêtres et ouvertures de l’école, ainsi que la réfection du système du chauffage, garantissant une meilleure gestion thermique du bâtiment. Afin de sécuriser et de simplifier l’accès à la maternelle Charles-Perrault ainsi qu’à l’école élémentaire Kléber adjacente, une seule et même entrée principale a été conçue pour les deux établissements. Un cheminement piéton permettra aux parents d’y accéder tandis qu’un préau a été réalisé pour protéger les familles des intempéries. À l’intérieur de l’école, de multiples travaux ont été entrepris : le dortoir a été réaménagé et agrandi. Les sanitaires ont également été complètement refaits. Enfin, la salle de jeux a été repensée avec la création de baies coulissantes permettant de diviser les espaces et d’accueillir notamment une bibliothèque et un espace périscolaire. L’ensemble de ces nouveaux aménagements, réalisés pour un coût total de plus d’un million d’euros, a été présenté aux parents d’élèves le 31 août lors d’une visite organisée en présence de Patrice Vergriete, maire de Dunkerque. Le premier Digital Lab d’ArcelorMittal est dunkerquois ! ArcelorMittal a inauguré son premier Digital Lab français, le 6 juillet, dans l’ancien Hôtel des technologies, à l’entrée du Port Est. Le géant de l’acier y anime un écosystème rassemblant d’autres industriels, à l’image de Suez pour la gestion de la consommation d’eau des usines, Engie pour l’efficacité énergétique ou encore Ericsson pour la connectivité mobile 5G. Il y a aussi des start-ups spécialisées dans l’optimisation énergétique, la réalité augmentée ou le développement de véhicules autonomes, ainsi que des grandes écoles et des acteurs locaux spécialisés. « L’ouverture de ce lieu, se réjouit Patrice Vergriete, est un marqueur fort dans notre projet de faire de Dunkerque un territoire d’avant-garde dans la transition énergétique, ainsi que dans notre volonté de faire évoluer l’économie du Dunkerquois vers davantage de tertiaire numérique. » L’objectif est d’apporter à l’industrie le meilleur de l’innovation numérique et d’accélérer la transformation digitale du groupe afin d’être encore plus performants sur trois domaines ciblés : la sécurité au travail pour atteindre le zéro accident, la valorisation et la réduction des consommations d’énergie, et l’environnement avec, en ligne de mire, une diminution des rejets de CO2 dans l’air. Outre ce travail partenarial, le Digital Lab sera aussi un centre de formation pour quelque 1 500 salariés chaque année, et un lieu qui accueillera des conférences et autres événements ouverts à tous. Aménagé sur plus de 2 700 m2 avec le soutien des collectivités locales, le Digital Lab dunkerquois peut accueillir jusqu’à 200 personnes. Il comprend, entre autres, cinq salles de coworking, trois salles d’immersion dont une de réalité virtuelle, une salle de créativité, 135 écrans dont 12 écrans géants et 11 grands écrans tactiles, ainsi qu’un auditorium. Une halle alimentaire, fin 2024, cours François-Bart La Communauté urbaine et la Ville mènent depuis 2014 un grand programme de redynamisation et de renforcement de l’attractivité du centre d’agglomération, tout en développant une politique agricole et alimentaire pour encourager les pratiques bénéfiques pour la santé et développer les circuits courts. C’est pourquoi, les élus communautaires ont décidé d’implanter, en centre-ville, une halle alimentaire publique d’inspiration « Baltard » sur une partie du cours François Bart, de part et d’autre de la rue des Soeurs Blanches. Une étude de programmation de l’équipement et un concours d’architecte sont en cours avec un lauréat désigné à la fin du premier trimestre 2022. Quant au chantier de construction, il devrait débuter à l’été 2023 pour une ouverture de l’équipement programmée fin 2024. « Il est essentiel, insiste Patrice Vergriete, de maintenir et développer le tissu commercial de proximité, tout en répondant aux nouvelles attentes des consommateurs. » C’est ainsi que la future halle, couverte et fermée, accueillera sur environ 1 100 m2 des producteurs et maraîchers locaux de préférence bios, des commerçants et artisans alimentaires répartis sur 15 à 20 étals, ainsi qu’un espace de restauration et dégustation de produits sur place. Elle sera ouverte six jours sur sept et fonctionnera en complémentarité avec l’offre alimentaire du centre-ville et le marché de plein air organisé les mercredi et samedi. Elle contribuera également, par son attractivité, à vivifier l’activité commerciale des rues adjacentes. La Halle, dont les espaces publics environnants seront réaménagés, se distinguera également par une intégration paysagère et une approche bioclimatique respectueuses de l’environnement. Une allée piétonne, uniquement accessible à ses heures d’ouverture, la traversera dans l’axe rue Clemenceau-place de Gaulle. Au-delà de sa vocation commerciale, elle sera un lieu d’échanges et de convivialité en accueillant, sur certains créneaux horaires, des animations liées à l’alimentation saine et à la cuisine. Des rencontres au marché les 8 et 11 septembre Dans le cadre de la construction de la halle alimentaire, la Ville a missionné un cabinet d’études afin de l’assister dans la réorganisation du marché de plein air bi-hebdomadaire. Il ira à la rencontre des chalands, des riverains et des commerçants du marché les mercredi 8 et samedi 11 septembre afin de recueillir leurs observations et propositions. L’idée est de conserver un lien fort entre le marché et la future halle alimentaire et d’améliorer la qualité pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs. Le nouveau stade Tribut sera prêt en fin d’année Tout comme les footballeurs de l’USLD engagés depuis fin juillet dans le championnat de Ligue 2, les ouvriers et techniciens sont à la manoeuvre chaque jour au stade Marcel-Tribut pour la construction de la deuxième tribune qui sera ouverte au public en fin d’année. Dunkerque disposera alors d’un stade de football digne de ce nom, en même temps qu’un signal fort en entrée de ville, au sortir de l’autoroute A16. Construite sur deux niveaux, la tribune nord comprendra 2 200 places assises et une cinquantaine de places réservées aux personnes à mobilité réduite. Elle accueillera également, au rez-dechaussée, un club-house avec vue sur le terrain synthétique, les vestiaires des équipes de jeunes, une salle de musculation, la boutique du club, un ascenseur et une salle de projection vidéo, tandis que deux salons partenaires seront aménagés au 2e étage. Comme pour la tribune sud, les supporters disposeront, au premier étage, de quatre blocs sanitaires, de deux buvettes et d’une infirmerie. Des panneaux photovoltaïques seront disposés sur la toiture fournissant ainsi de l’électricité qui sera consommée sur place. L’aménagement du parvis sera quant à lui achevé en même temps que la tribune. Par ailleurs, une tribune modulaire de 250 places sera réservée aux supporters adverses derrière les buts, côté salle Deweerdt. Avec ou sans skipper, larguez les amarres au Grand Large ! Si Dunkerque Marina connaît un vif succès auprès des plaisanciers toujours plus nombreux à venir accoster à ses pontons, la structure s’est enrichie de deux nouveaux services qui font le bonheur des amoureux de la mer. Le premier Boat Club des Hauts-de- France a ainsi été créé au Grand Large par Bleu Marine, concessionnaire Jeanneau au Port Est. Il s’agit d’un système de bateaux partagés à un prix tout à fait abordable, accessible en ligne moyennant une cotisation mensuelle. Trois bateaux à moteur de taille différente et un voilier First 210 sont ainsi mis à disposition des membres du club qui doivent impérativement avoir plus de 21 ans et être titulaires du permis côtier français. De quoi partager une partie de pêche entre amis ou emmenez les enfants faire du wakeboard, sans oublier le pique-nique à bord ! Quant à Christophe Patou, professionnel de la voile bien connu sur notre littoral, il vient de lancer le club croisière Alidade qui propose des sorties en mer, après le travail, de 18 h à 20 h, avec un coach plusieurs fois champion de France. En plus des propositions classiques d’une école de croisière, le voilier devient ainsi une salle de sport à ciel ouvert avec des formules d’abonnement et un tarif privilégié pour les lycéens. Trouver un emploi en prenant le bus Après un test mené en 2019 sur les métiers de l’artisanat, le réseau urbain gratuit DK’Bus diffuse des offres d’emploi tous métiers sur ses 18 lignes, à l’initiative de la Communauté urbaine. Grâce à un système de géolocalisation, les voyageurs voient s’afficher sur les écrans numériques les offres d’emploi partagées par Entreprendre ensemble et disponibles à l’approche des arrêts concernés. Ces offres sont également consultables sur l’espace emploi du site www.dkbus.com (rubrique infos pratiques) et sur www.eedk.fr. Le budget participatif de proximité sera expérimenté en Basse Ville Soucieuse de renforcer l’autonomie des habitants dans la prise de décisions concernant leurs quartiers, la Ville lance le 6 octobre l’expérimentation durant une année du budget participatif de proximité en Basse Ville. Depuis 2014, la refondation et le développement de la démocratie locale sont l’un des axes forts de l’action municipale, avec la volonté d’impliquer toujours plus de citoyens et de renforcer le lien social. La municipalité a ainsi donné aux Dunkerquoises et aux Dunkerquois les pouvoirs d’agir, de décider et de participer à la définition de politiques concernant leur quotidien. Consultation, concertation, coproduction, codécision ont été les maîtres mots de cette démarche portée par une grande diversité d’outils nouveaux et innovants, au premier rang desquels figurent les Fabriques d’Initiatives Locales (FIL) qui ont permis de concrétiser nombre des projets avec et pour les habitants. Mais pour être vivante, la démocratie locale se doit d’évoluer et faire place à l’expérimentation. L’expérimentation du budget participatif de proximité, votée en juin par le conseil municipal, permettra ainsi aux habitants d’un îlot de vie de concevoir et de concrétiser tout type de projets d’intérêt général qu’ils auront décidés. Elle sera menée durant trois ans successivement dans trois îlots de vie différents. C’est la Basse Ville qui inaugurera la formule avec une première réunion publique organisée le mercredi 6 octobre à 18 h au théâtre La Licorne, rue du Fort Louis. Un collectif d’animation sera créé avec des habitants volontaires. Soutenu par la Maison de quartier, il aura notamment pour mission de mobiliser d’autres habitants afin qu’ils puissent soumettre des propositions de projets à une assemblée citoyenne appelée à prendre les décisions. Ce sera la première fois que des Dunkerquois disposeront d’une vraie autonomie pour mener un projet de A à Z, la Ville se positionnant uniquement pour l’expertise et le soutien technique. Revitaliser la démocratie locale, c'est aussi toujours mieux accompagner les habitants et collectifs d'habitants qui s'investissent dans le "vivre ensemble". C'est faire en sorte que toute personne qui a une idée pour son quartier puisse la concrétiser facilement. Pour ce faire, il a été décidé de renforcer et simplifier l'organisation des Fonds d'accompagnement citoyens des initiatives locales (FacIL) avec une priorité donnée aux actions favorisant le lien social et la rencontre. Il en va ainsi, par exemple, de la Fête des voisins programmée le 24 septembre ou de projets d'aménagement de tables de pique-nique, de bancs ou de petits jeux pour enfants. Les Fabriques d’Initiatives Locales à la relance Une trentaine de Fabrique d’Initiatives Locales (FIL) ont été mises en place dans les quartiers depuis 2014. Les dernières en date ont eu pour cadre le Fort de Petite-Synthe, où les habitants ont participé à la conception de la base de loisirs, la Basse Ville avec la refondation du square René- Ovion ou encore les Glacis avec les aménagements de la place Prigent. Si la crise sanitaire a quelque peu ralenti l’activité des FIL, celles-ci repartent de plus belle dès le 15 septembre, aux Glacis, autour de la rue Godefroy-d'Estrades, mais aussi à la Tente Verte à Rosendaël avec des habitants qui travailleront, cet automne, à la création d’un nouvel espace partagé rue Jean-Moulin. Quant à la FIL « îlot apaisé », elle est déclinée dans quatre îlots de vie sur la thématique de la sécurité routière et de l’éclairage public : au Grand Large- Victoire (Dunkerque-Centre), entre les avenues de la Mer et entre la Digue et le boulevard de la République (Maloles- Bains), autour de l’école Louise de Bettignies (Rosendaël) et dans le secteur Louis XIV-Banc Vert (Petite- Synthe). Entamées en juin, les consultations des habitants se poursuivront cet automne. Marjorie Eloy, adjointe au maire à la démocratie locale et à la vie associative, à l’animation et au tourisme Quel bilan pour la démocratie participative à Dunkerque ? La démocratie participative est une réalité à Dunkerque. De nombreux projets ont été menés à bien, ces dernières années, avec et pour les habitants des quartiers, comme en témoignent l’inauguration récente de l’aire de jeux du square René-Ovion en Basse Ville ou les aménagements réalisés aux Glacis. Reste qu’on peut toujours faire mieux au service du vivre ensemble, avec plus d’autonomie et d’autogestion des citoyens. D’où la création du budget participatif de proximité ? Le budget participatif de proximité est une grande nouveauté, car c’est la première fois que des habitants auront à gérer une enveloppe de 20 000 € pour développer des actions ou des projets d’intérêt général propres à leur îlot de vie. Outre le budget, ils auront également carte blanche pour définir et animer les instances qui choisiront les projets et les mettront en oeuvre. Nous commencerons l’expérimentation le 6 octobre en Basse Ville pour une durée d’un an. Quels types de projets seront éligibles ? Tout projet d’intérêt général pour l’îlot de vie. Il peut s’agir d’animation, de développement du lien social, d’actions de solidarité, de la réalisation de petits chantiers d’amélioration du cadre de vie, d’actions éducatives, sportives ou culturelles… Les projets financés devront être gratuits et ouverts à tous et ne pas générer de charges de fonctionnement disproportionnées. La Ville booste votre Fête des voisins, le 24 septembre ! Symbole de convivialité, la Fête des voisins aura lieu cette année le vendredi 24 septembre de 18 h à 22 h sur l’ensemble des quartiers dunkerquois. Chaque habitant peut se déclarer organisateur d’une Fête des voisins en s’inscrivant auprès de sa mairie de quartier avant le 16 septembre. Pour chaque organisateur, la Ville mettra à disposition des cartons d’invitations et affichettes personnalisables et offrira un panier garni de produit locaux pour que la fête soit plus belle encore ! Des logements anciens de qualité pour renforcer l’attractivité de Dunkerque Prévenir l’habitat indigne, améliorer la qualité des logements individuels et collectifs, renforcer l’attractivité résidentielle des quartiers, proposer des logements accessibles à tous, préserver le patrimoine bâti…, la Ville et la Communauté urbaine agissent ensemble pour le bien-vivre à Dunkerque. À côté des programmes de nouvelles constructions présentées dans les dernières éditions de notre journal municipal, les deux collectivités mobilisent également des aides financières et techniques pour les immeubles anciens et s’affirment vigilantes quant au respect des règles de décence. Un vaste programme d’aide aux travaux de rénovation pour l’habitat ancien du centre-ville La Communauté urbaine mène depuis plusieurs années une vaste opération de redynamisation et d’embellissement du centre-ville grâce au programme national Action Coeur de Ville. C’est dans ce cadre qu’elle vient de lancer un nouveau dispositif au bénéfice des propriétaires privés, de maisons et d’appartements, et des copropriétés pour les parties communes, afin de valoriser son patrimoine bâti et améliorer la qualité des logements dans un secteur compris entre la rue du Sud, le quai des Hollandais, la rue du Jeu de Paume et le boulevard Paul- Verley. Cette opération programmée d’amélioration de l’habitat et de renouvellement urbain (OPAH RU) sera menée durant cinq ans (de 2021 à 2026) par l’opérateur Urbanis, choisi par la CUD pour accompagner dans leur projet de rénovation, les propriétaires occupants ou bailleurs ainsi que les syndicats de copropriétaires du centre-ville. Outre un soutien technique gratuit pour le montage du dossier et l’aide à la décision, ce sont pratiquement tous les types de travaux (couverture, menuiserie, électricité, chauffage…) qui peuvent être subventionnés par l’ANAH, par la Communauté urbaine ou par l’Etat (MaPrim’Renov) dans le cadre de cette OPAH RU. Deux conditions sont cependant à respecter : les logements et bâtiments concernés doivent avoir plus de 15 ans et le programme de travaux doit s’inscrire dans un projet cohérent permettant la rénovation complète du logement et/ou des parties communes, sa mise aux normes, l’amélioration de sa performance énergétique ou encore son adaptation au maintien à domicile des personnes âgées ou en perte d’autonomie. Le montant des subventions accordées varie en fonction de l’état du bâti et, dans certains cas, des revenus des (co) propriétaires. Au total, ces aides financières peuvent couvrir de 25 % à 65 % du montant des travaux. Par ailleurs, les (co)propriétaires pourront bénéficier de conseils gratuits, voire d’un diagnostic d’aide à la décision avant tout chantier, et ceux du boulevard Alexandre III (entre les places de la République et Jean-Bart) pourront cumuler ces subventions avec celles du Périmètre de Ravalement Obligatoire des façades (PRO) mis en place depuis plusieurs années par la Ville. Si vous êtes intéressé par cette OPAH RU, vous pouvez d’ores et déjà contacter l’équipe d’animation d’Urbanis au 03 62 26 32 49 ou visiter, sur rendezvous, la permanence ouverte chaque mercredi de 9 h 30 à 12 h 30 à l’Hôtel communautaire. Le 2e Forum de la copropriété le 25 septembre L’Hôtel communautaire accueillera le 2e Forum de la copropriété le samedi 25 septembre de 13 h 30 à 18 h. Vous pourrez assister à des sessions d’information sur le thème des travaux en copropriété, qui préciseront les accompagnements possibles et les subventions mobilisables. La CUD, la Ville et leurs partenaires vous renseigneront également sur des sujets pratiques, juridiques, ainsi que sur l’OPAH RU, le nouveau programme d’amélioration de l’habitat en centre-ville. Entrée libre sur présentation du pass sanitaire. Possibilité de participer aux ateliers en visioconférence sur inscription. Parole d’élu Alain Simon, vice-président de la CUD à l’habitat et à la rénovation urbaine, conseiller municipal spécial auprès du maire Pourquoi lancer une opération de rénovation des logements en centre-ville ? Deux tiers des logements à Dunkerque relèvent du secteur privé et la majorité des immeubles du centre-ville datent de la Reconstruction. Nombre de ces logements nécessitent une remise à niveau qualitative du bâti, mais surtout un traitement énergétique afin d’améliorer leur confort. Il y a aujourd’hui trop de vacances entre deux périodes de location. Nous travaillons donc avec les propriétaires et les copropriétaires à adapter le parc locatif à la demande. Et pour être réellement efficace, il faut agir dans la globalité, d’où le lancement de cette OPAH RU qui bénéficiera du soutien financier de l’État, de la CUD et de la Ville. L’autorisation de division des logements va entrer en vigueur le 1er septembre dans certains quartiers de Dunkerque. Pourquoi cette réglementation ? Si l’immense majorité des bailleurs jouent le jeu, il en reste cependant quelques-uns qui n’hésitent pas à transformer un immeuble d’habitation unique en plusieurs petits logements sans respecter les règles minimales de confort et de décence. Cette nouvelle réglementation sanctionnera ces quelques personnes. Les populations les plus fragiles et les étudiants sont les premières victimes d’un rapport qualité-prix parfois désastreux. C’est pour eux que nous agissons dans la droite ligne des actions que nous avons menées contre l’insalubrité ces dernières années. Le service communal d’hygiène et de santé se mobilise pour des logements décents Les sept agents du Service communal d’hygiène et de santé (SCHS) sont en première ligne dans la lutte contre l’habitat indigne. Intégrés à la direction du Logement, ils interviennent sur tout le territoire du Grand Dunkerque pour ce qui concerne l’état d’un logement et des parties communes, qu’il s’agisse de désordres liés au bâti (façade, murs, toitures, …), aux abords du logement (encombrement, déchets, mauvais entretien du jardin…) ou de désordres intérieurs (infiltrations, moisissures, installation électrique ou de chauffage dangereuse…). Locataires, voisins, propriétaires… tout le monde peut interpeller le SCHS et le nombre de dossiers ne fait que croître : il est passé de 193 en 2017 à 916 l’an dernier, avec un taux de résolution immédiate des problèmes de 40 %. Suite à une plainte, le service visite le logement ou l’immeuble incriminé avant de mettre en oeuvre une procédure graduelle qui va de la simple médiation jusqu’à un arrêté municipal ou préfectoral de mise en demeure de faire les travaux, le tout ponctué de visites de contrôle. Mais l’action du service ne se limite pas à la mise en oeuvre des procédures. Intégré à la mission interservices créée au sein de la direction municipale du logement, il contribue activement avec le CCAS et d’autres services municipaux, à la mise à l’abri puis au relogement de locataires confrontés à des situations dangereuses, tout en mettant les propriétaires défaillants face à leurs obligations. Le Service communal d’hygiène et de santé peut également conseiller juridiquement les propriétaires sur des projets de travaux de réhabilitation et jouer le rôle de médiateur entre propriétaires et locataires. Il assure également, pour le compte de la Communauté urbaine, les visites de logements dans le cadre de l’Autorisation préalable de mise en location ou « Permis de louer », expérimentée sur notre territoire depuis le 1er novembre 2019. Cette disposition, qui vise elle-aussi à s’assurer de la mise en location de logements décents, concernent les appartements de la Tour du Reuze et les logements de plusieurs quartiers d’habitat ancien de la commune associée de Saint-Pol-sur-Mer. Service communal d’hygiène et de santé, ruelle aux Pommes. Tél. 03 28 26 29 15 ou direction.logement@ville-dunkerque.fr L’Autorisation préalable à la Division pour prévenir l’habitat indigne Depuis le 1er septembre, tout propriétaire qui souhaite diviser son bien pour créer un ou plusieurs logements doit déposer une demande d’autorisation préalable de travaux auprès de la Communauté urbaine. Cette obligation qui vise à lutter contre l’habitat indigne, s’applique à l’ensemble du territoire communal, à l’exception de plusieurs quartiers où l’habitat social est majoritaire, tels la Basse Ville, le Jeu de Mail, le Carré de la Vieille ou le Banc Vert. La liste exhaustive des rues concernées est disponible sur le site internet de la Communauté urbaine. Le formulaire de dépôt est disponible à l’accueil de l’Hôtel communautaire, à la direction du logement de la mairie, ruelle aux Pommes et sur le site internet de la Communauté urbaine. Une fois rempli, il devra être déposé à la CUD accompagné de divers plans et diagnostics. La CUD instruira le dossier avant de rendre une décision motivée dans les 15 jours suivant le dépôt. En cas de refus, un autre projet devra être présenté par le propriétaire. Rappelons, par ailleurs, que tout projet qui inclut la création de surfaces nouvelles ou une modification de l’aspect extérieur du bâti nécessite en plus, soit une déclaration préalable de travaux, soit un permis de construire. Tél. 03 28 62 70 20 ou permisdediviser@cud.fr surlenet www.communaute-urbaine-dunkerque.fr Deux immeubles d’habitation réhabilités en Basse Ville Dans le cadre du dispositif Action Coeur de Ville, initié par l’Etat, l’organisme paritaire Action Logement Service et le bailleur social Flandre Opale Habitat oeuvrent, sous l’égide de la Communauté urbaine, à la réhabilitation ou à la construction de logements dans les quartiers Basse Ville, Soubise et Gare. L’objectif est double : faciliter l’accès au logement aux jeunes salariés et travailleurs en mobilité, tout en renforçant l’attractivité des quartiers concernés. À ce titre, les deux premières opérations de réhabilitation viennent de s’achever en Basse Ville, aux 30 rue de Séchelles et 16 rue de l’Abbé-Choquet, avec à la clé cinq appartements T2 et T3 mis en location, tandis que la construction de la pension de famille Adoma se poursuivra jusqu’en 2023, du 28 au 32 rue de l’Abbé Choquet. Quant au prochain chantier, il débutera, ces prochaines semaines, à l’angle des rues Marengo et de Séchelles avec la construction de quatre logements livrables au second semestre 2023, avant d’autres opérations de démolition-reconstruction programmées, début 2022, rues Saint- Matthieu, de l’Abbé Choquet ou encore Albert-Sauvage. Elles seront réalisées par la société d’économie mixte S3D pour le compte de Flandre Opale Habitat. Une nouvelle vie pour l’ancien hôtel Terminus place de la Gare La place de la Gare poursuivra son embellie avec la réhabilitation complète de l’ancien hôtel Terminus par la société parisienne Conserto. L’objectif est de créer 11 logements (1 T1 bis et 10 T2) dotés de larges baies vitrées et de hauteurs sous plafonds généreuses, tout en respectant scrupuleusement le caractère historique de cette maison bourgeoise construite à la fin du XIXe siècle. Le chantier, mené avec le concours d’entreprises locales, devrait débuter fin 2021-début 2022 et se poursuivre jusqu’à l’été 2024. Les logements seront vendus à des investisseurs essentiellement pour la location, tandis que le café restera ouvert au rez-de-chaussée. Commercialisation auprès de la société Kacius. Tél. 01 42 66 50 70 https://cutt.ly/NmgQGNx Barthélémy Chinenyeze : Champion olympique de volley-ball ! Depuis quelques semaines, il est devenu l’un des visages emblématiques de l’Olympisme tricolore. Le Dunkerquois Barthélémy Chinenyeze fait en effet partie de l’équipe de France de volley-ball sacrée aux Jeux de Tokyo. Une performance unique dans l’histoire du volley français qui n’était jamais sorti des poules dans un tel tournoi. De passage à Dunkerque mi-août, celui qui est né à Coudekerque- Branche et a grandi au collège Guilleminot et au DGLVB, est revenu avec nous sur ce bel été en bleu ! « À la boutique de la place Jean- Bart, c’était incroyable ! Je m’attendais à voir une dizaine ou une vingtaine de personnes… Mais les gens étaient plus de deux cents à être passés ! Certains ont fait une heure de voiture, c’est incroyable ! » Ce succès à Dunkerque, chez lui, fait écho à l’accueil reçu à la descente de l’avion qui le ramenait de Tokyo. « D’habitude, seuls les volleyeurs me reconnaissent ; là, tous les gens qui aiment le sport ou simplement ceux qui ont suivi les JO, tous nous identifiaient, à l’aéroport comme au Trocadero ! » Une reconnaissance que « Babar », son surnom dans le groupe France, goûte avec un large sourire : « C’est sympa que le volley se fasse une place dans les sports co français ! Et puis, j’espère que ça va nous permettre de gagner un peu en visibilité ! Que des jeunes vont s’essayer au volley… » Un sport spectaculaire et où tout est possible, comme le prouve le parcours de l’équipe de France lors de ces JO : « On perd deux de nos trois premiers matchs… Et puis on retrouve notre identité de jeu contre la Pologne, puis la Russie et le Brésil… » Une fois sortis des poules, les Bleus se disent que l’objectif sportif est atteint… « mais qu’une médaille aux Jeux, ce serait super ». On connaît la suite… Dans cette finale haletante face aux Russes, Barthélémy et les Bleus se sont engouffrés dans le sillage d’un Erwin NGapeth en feu ! « Je le regardais et j’avais la hargne ! Envie de lui hurler de continuer à tout fracasser… » Le pointu Babar aura lui aussi planté quelques jolis points, comme celui qui suivit la défense folle d’NGapeth dans les gradins ou cet autre à 3-4 points de la fin. « Des moments où l’on a senti qu’on leur faisait mal. » Encore sur son nuage, Barthélémy devra pourtant vite remettre le bleu… de chauffe. Avec Milan, son nouveau club, dès ce mois de septembre, puis très vite avec l’équipe tricolore. « J’ai tendance à dire qu’on a fini le jeu, avec cet or olympique ; mais je n’ai jamais été champion d’Europe ni du Monde… Et à Paris, chez nous, dans trois ans on devrait connaître des JO avec du public ! » Des échéances qui suffisent amplement à maintenir très haute la motivation d’un champion olympique de 23 ans…