Le Carnet de Jo & Rosalie, un outil pédagogique transfrontalier
L’histoire de la pêche résonne pour beaucoup, d’un côté ou de l’autre de la frontière. La Direction de la Culture et des Relations internationales de la Ville de Dunkerque et le réseau local d’éducation globale Le monde à bonne école ainsi que de nombreux partenaires français et belges ont voulu partager ces éléments de l’histoire avec les plus jeunes générations au travers des découvertes de Jo, la Française, et de Rosalie, la Belge.
Ensemble, ils ont écrit Le carnet de Jo & Rosalie : des petites histoires qui font la grande Histoire.
Des élèves d’Erasmus+ du lycée de l’Europe s’emparent du Carnet de Jo & Rosalie
Mercredi 13 décembre 2023, des élèves d’Erasmus+ du lycée de l’Europe enregistraient en anglais une version réécrite du carnet pédagogique transfrontalier. Outre le fait de s’exprimer dans la langue de Shakespeare, ces jeunes ont réalisé un beau travail de transmission et acquis de nouvelles connaissances et compétences individuelles et collectives. Merci à José Barroy, ingénieur du son, qui les a accompagnés.
Retour sur cette expérience en cliquant sur ce lien
Retrouvez le résultat de leur travail collaboratif en cliquant sur la vidéo ci-dessous
Restitution le 1er décembre du projet « Apprendre et découvrir en s’amusant avec Jo et Rosalie »
C’est au Musée Maritime et Portuaire que se déroulait, en ce début de décembre, le deuxième acte du projet mené autour du carnet de Jo & Rosalie. Retour en images sur ce mot de partage entre le public des Maisons de quartier situées en politique de la ville , les artistes et les partenaires.
Témoignages
Des différences, quelles différences ?!
« Grâce aux photos, on voit les points communs entre les deux pays mais aussi les différences avec les jeunes de maintenant », Zélie en CM2.
« On pense toujours que la Belgique est très différente de la France, ce carnet nous montre le contraire », Héloïse dans la même classe.
Ces petits riens qui font l’Histoire.
« J’ai eu plaisir à raconter mon enfance heureuse malgré les conditions de vie difficiles. Mon grand‐père pêcheur à Islande, mon père marin au long cours, ma maman morte trop jeune, ma grand‐mère qui s’occupait de nous …. Et la solidarité, omniprésente dans le village, qui nous a permis de vivre une enfance insouciante. La ducasse, le casse‐gueule, la route à travers champs pour aller à la mer avec ma grand‐mère, la vie dehors… Ce sont de petits riens mais de les partager avec d’autres me remplit de joie », Mauricette Gellé, 91 ans.